vendredi 12 mars 2010

Fiche hebdomadaire

NOM: MEHDI

Prénom: Reda

Date: 12/03/2010

TRAVAIL REALISE

En groupe oui

Lieu: CDI

Tâches réalisées:

Nous avons rendu notre dossier à nos professeurs. Nous avons également avancés notre power point. Et nous avons aussi écouté nos camarades passer leur oral blanc.

Fiche hebdomadaire

NOM: AMER

Prénom: Anissa

Date: 12/03/2010

TRAVAIL REALISE

En groupe oui

Lieu: CDI

Tâches réalisées:

Nous avons rendu notre dossier à nos professeurs. Nous avons également avancés notre power point. Et nous avons aussi écouté nos camarades passer leur oral blanc.

Fiche hebdomadaire

NOM: MOLINIER

Prénom: Antoine

Date: 12/03/2010

TRAVAIL REALISE

En groupe oui

Lieu: CDI

Tâches réalisées:

Nous avons rendu notre dossier à nos professeurs. Nous avons également avancés notre power point. Et nous avons aussi écouté nos camarades passer leur oral blanc.

samedi 6 mars 2010

Fiche hebdomadaire Antoine

NOM: MOLINIER

Prénom: Antoine

Date: 26/02/2010



TRAVAIL REALISE

Personnel oui

En groupe oui

Lieu: CDI



Tâches réalisées:
Jai terminé le 3. du II/, et j'ai continué le powerpoint.

II/ 3. Le cinéma d'aujourd'hui
Les salles de cinéma constituent le principal lieu d’exploitation des films. Mais depuis l’arrivée des cassettes vidéo au milieu des années 1970, puis des DVD environ vingt ans plus tard, le cinéma se regarde également à la maison. Ces supports représentent un marché à part entière dans l’industrie du cinéma actuelle.Lorsqu’il est produit, un long métrage est souvent projeté devant une audience dans une salle de cinéma.
Le premier théâtre, désigné exclusivement pour le cinéma a ouvert à Pittsburgh en 1905. Celui-ci entrainera peu de temps après des milliers d'autres salles construites ou converties pour le cinéma. Aux États-Unis, ces salles sont connues sous le nom de Nickel Odéon, car l'entrée coûtait généralement un nickel, soit cinq cents.
Si les films sont des objets culturels issus d’une culture spécifique dont ils sont le reflet, leur diffusion est potentiellement universelle grâce au développement de technologies qui ont permis un rayonnement mondial des films, par le sous-titrage ou le doublage des dialogues, ainsi que par leur mise à disposition dans des formats domestiques (cassettes, DVD, Internet, etc.). Ils sont susceptibles aussi de devenir de vrais produits commerciaux, tellement que les sommes entrainées par les industries sont énormes, malgré les coûts de production.
Ainsi le cinéma poursuit sa progression. Outre sa progression pour les films, les salles de cinéma s’améliorent. Tout est fait pour attirer le client. Dans les cinémas, se trouve des lieux de gastronomie rapide permettant aux clients de se rassasier et aux gérant du cinéma de faire plus de bénéfices en conséquence. De plus l’endroit où sont projetés les films est de mieux en mieux pour donner une sensation de réalité (les techniques de film, effets spéciaux, y jouent un rôle aussi). La salle de cinéma se plonge dans le noir pour accentuer le film et éviter des reflets visuels. Le siège où le spectateur se situe s’est considérablement amélioré depuis l’ouverture de salle de cinéma.
Historiquement, tous les films à gros budgets ont été projetés dans des salles. Le développement de la télévision a permis à une audience plus large et plus variée de voir les films, quelques temps après que le film n'est plus projeté en salle. La technologie d'enregistrement a également permis aux consommateurs de louer ou d'acheter des copies de films sur VHS (Video Home System) ou DVD (Digital Versatile Disc) , ainsi que le téléchargement sur l'internet est devenu une nouvelle source de revenue pour les studios de production. Plusieurs films sont désormais tournés spécifiquement pour ces autres salles, sortant en tant que téléfilm ou vidéofilm. La valeur de production de ces autres types de film est souvent considérée d'une qualité inférieure comparée aux sorties mondiales de blockbusters, dans des genres similaires.
La salle de cinéma paye une moyenne d'à peu près 50 % de la vente des tickets aux studios, comme frais de location. Le pourcentage actuel est légèrement supérieur, et diminue si la durée de location est grande, comme encouragement à garder les films sur une plus longue durée. Cependant, actuellement, le barrage du nombre de films fait que la plupart des films sont projetés pendant moins de 8 semaines.

vendredi 5 mars 2010

Fiche hebdomadaire Anissa

NOM: AMER

Prénom: Anissa

Date: 05/03/2010

TRAVAIL REALISE

Personnel oui

En groupe oui

Lieu: CDI

Tâches réalisées:

J'ai surtout travaillé avec mon groupe aujourd'hui, notamment sur l'avancement du power point. J'ai également avancé ma fiche étape n°4. Et finaliser la rédaction de notre dossier.

Fiche hebdomadaire Reda

NOM: Mehdi

Prénom: Reda

Date: 05/03/2010

TRAVAIL REALISE

Personnel oui

En groupe oui

Lieu: CDI

Tâches réalisées:

J'ai terminé la partie 2 du II , j'ai également continuer a chercher des informations sur la croix de Malte.

Fiche hebdomadaire

NOM: MOLINIER

Prénom: Antoine

Date: 05/02/2010

TRAVAIL REALISE

Personnel oui

En groupe oui

Lieu: CDI

Tâches réalisées:

On plutôt travaillé en groupe, surtout pour avancé le power point et nous avons finaliser le dossier. J'ai également terminé ma fiche étape 4.

Conclusion

Divertissement pour les uns ou simple industrie pour les autres, la cinématographie couramment appelée le cinéma, indispensable invention des frères Lumière, a accompli une véritable révolution dans le monde des arts. Il a su rapidement trouver sa place dans la société et s'imposer comme le 7ème art. Le cinéma forme aujourd'hui un réel univers riche et varié.

Amateurs d'actions, de western, de fantastique, de science-fiction, de dessins animés, etc ... ces choix divers concernent un public tout aussi éclectique.

On a tout d'abord vu que la technique cinématographique est la synthèse de trois principes fondamentaux qui sont par ordre d'entrée en scène : la projection, l'animation des images et la photographie. Les frères Lumières ont joué un rôle important dans les débuts du cinéma, leurs premières réalisations nous montrent leur goût prononcé pour le réalisme du documentaire. Par ailleurs parallèlement à la production artisanale de Méliés, le cinéma doit sa métamorphose aux puissants chefs d'entreprises Charles Pathé et Léon Gaumont, créateurs d'empires cinématographiques à la française.

Le cinéma va connaître de nombreux changement notamment le film muet qui est supplanté dans les années 1930 par l'arrivée du sonore, ce qui va avoir de lourdes conséquences sur le choix et le jeu des acteurs ainsi que sur l'exportation des films. De plus dès 1935 un second changement se met en place : l'arrivée de le couleur qui va faire disparaître le noir & blanc. Le cinéma tourne ainsi un chapitre important de son histoire.

Comme on a pu le voir dans la seconde partie, le cinéma va vite devenir une industrie notamment avec Hollywood qui va transformer le monde du cinéma. Les producteurs américains s'emparent de tous les pouvoirs à la tête des grandes compagnies, le cinéma est un vrai commerce. On peut citer une variété de film, notamment le cinéma d'animation qui aux quatre coins de la planète emporte les spectateurs dans leurs rêves les plus fous. (Exemple: l'empire de Walt Disney).

Dans le monde entier le cinéma parvient à s'affirmer malgré les obstacles culturels ou encore économiques. Les progrès techniques que connaît le cinéma modifient et font évoluer les goûts du public. L'emploi du numérique, pour les prise de vues ou encore la projection se généralise.

Ainsi on peut en conclure que sans l’évolution de la synchronisation et la vitesse des images, la cinématographie n’aurait pas connu de telles évolutions.

Fiche hebdomadaire

Nom : AMER

Prénom : Anissa

Date : 26/02/10

TRAVAIL REALISE :

Personnel oui

En groupe : oui

Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :

J'ai terminée la conclusion qui se trouve ci dessous. J'ai également avec mes camarades avancée le power point.
Divertissement pour les uns ou simple industrie pour les autres, la cinématographie couramment appelée le cinéma, indispensable invention des frères Lumière, a accompli une véritable révolution dans le monde des arts. Il a su rapidement trouver sa place dans la société et s'imposer comme le 7ème art. Le cinéma forme aujourd'hui un réel univers riche et varié.

Amateurs d'actions, de western, de fantastique, de science-fiction, de dessins animés, etc ... ces choix divers concernent un public tout aussi éclectique.

On a tout d'abord vu que la technique cinématographique est la synthèse de trois principes fondamentaux qui sont par ordre d'entrée en scène : la projection, l'animation des images et la photographie. Les frères Lumières ont joué un rôle important dans les débuts du cinéma, leurs premières réalisations nous montrent leur goût prononcé pour le réalisme du documentaire. Par ailleurs parallèlement à la production artisanale de Méliés, le cinéma doit sa métamorphose aux puissants chefs d'entreprises Charles Pathé et Léon Gaumont, créateurs d'empires cinématographiques à la française.

Le cinéma va connaître de nombreux changement notamment le film muet qui est supplanté dans les années 1930 par l'arrivée du sonore, ce qui va avoir de lourdes conséquences sur le choix et le jeu des acteurs ainsi que sur l'exportation des films. De plus dès 1935 un second changement se met en place : l'arrivée de le couleur qui va faire disparaître le noir & blanc. Le cinéma tourne ainsi un chapitre important de son histoire.

Comme on a pu le voir dans la seconde partie, le cinéma va vite devenir une industrie notamment avec Hollywood qui va transformer le monde du cinéma. Les producteurs américains s'emparent de tous les pouvoirs à la tête des grandes compagnies, le cinéma est un vrai commerce. On peut citer une variété de film, notamment le cinéma d'animation qui aux quatre coins de la planète emporte les spectateurs dans leurs rêves les plus fous. (Exemple: l'empire de Walt Disney).

Dans le monde entier le cinéma parvient à s'affirmer malgré les obstacles culturels ou encore économiques. Les progrès techniques que connaît le cinéma modifient et font évoluer les goûts du public. L'emploi du numérique, pour les prise de vues ou encore la projection se généralise.

Ainsi on peut en conclure que sans l’évolution de la synchronisation et la vitesse des images, la cinématographie n’aurait pas connu de telles évolutions.

dimanche 21 février 2010

II/ 3. Le cinéma d'aujourd'hui

Les salles de cinéma constituent le principal lieu d’exploitation des films. Mais depuis l’arrivée des cassettes vidéo au milieu des années 1970, puis des DVD environ vingt ans plus tard, le cinéma se regarde également à la maison. Ces supports représentent un marché à part entière dans l’industrie du cinéma actuelle.
Lorsqu’il est produit, un long métrage est souvent projeté devant une audience dans une salle de cinéma. Le premier théâtre, désigné exclusivement pour le cinéma a ouvert à Pittsburgh en 1905. Celui-ci entrainera peu de temps après des milliers d'autres salles construites ou converties pour le cinéma. Aux États-Unis, ces salles sont connues sous le nom de Nickel Odéon, car l'entrée coûtait généralement un nickel, soit cinq cents.
Si les films sont des objets culturels issus d’une culture spécifique dont ils sont le reflet, leur diffusion est potentiellement universelle grâce au développement de technologies qui ont permis un rayonnement mondial des films, par le sous-titrage ou le doublage des dialogues, ainsi que par leur mise à disposition dans des formats domestiques (cassettes, DVD, Internet, etc.). Ils sont susceptibles aussi de devenir de vrais produits commerciaux, tellement que les sommes entrainées par les industries sont énormes, malgré les coûts de production.
Ainsi le cinéma poursuit sa progression. Outre sa progression pour les films, les salles de cinéma s’améliorent. Tout est fait pour attirer le client. Dans les cinémas, se trouve des lieux de gastronomie rapide permettant aux clients de se rassasier et aux gérant du cinéma de faire plus de bénéfices en conséquence. De plus l’endroit où sont projetés les films est de mieux en mieux pour donner une sensation de réalité (les techniques de film, effets spéciaux, y jouent un rôle aussi). La salle de cinéma se plonge dans le noir pour accentuer le film et éviter des reflets visuels. Le siège où le spectateur se situe s’est considérablement amélioré depuis l’ouverture de salle de cinéma.
Historiquement, tous les films à gros budgets ont été projetés dans des salles. Le développement de la télévision a permis à une audience plus large et plus variée de voir les films, quelques temps après que le film n'est plus projeté en salle. La technologie d'enregistrement a également permis aux consommateurs de louer ou d'acheter des copies de films sur VHS (Video Home System) ou DVD (Digital Versatile Disc) , ainsi que le téléchargement sur l'internet est devenu une nouvelle source de revenue pour les studios de production. Plusieurs films sont désormais tournés spécifiquement pour ces autres salles, sortant en tant que téléfilm ou vidéofilm. La valeur de production de ces autres types de film est souvent considérée d'une qualité inférieure comparée aux sorties mondiales de blockbusters, dans des genres similaires.
La salle de cinéma paye une moyenne d'à peu près 50 % de la vente des tickets aux studios, comme frais de location. Le pourcentage actuel est légèrement supérieur, et diminue si la durée de location est grande, comme encouragement à garder les films sur une plus longue durée. Cependant, actuellement, le barrage du nombre de films fait que la plupart des films sont projetés pendant moins de 8 semaines.

vendredi 12 février 2010

Fiche hebdomadaire Reda

NOM: MEHDI
Prénom: Reda
Date: 05/02/2010

TRAVAIL REALISE
Personnel oui
En groupe oui
Lieu: CDI

Tâches réalisées:
J'ai débuté le 2. du II/
Nous avons poursuivi la réalisation du power point.

mardi 9 février 2010

II. 1. Le cinéma se transforme en industrie.

Dès son accession, le cinéma révèle à ses premiers producteurs son potentiel commercial. Exploité dans les foires, il constitue rapidement une « attraction » particulièrement appréciée. Ainsi Charles Pathé, qui fabrique des courts métrages destinés à ce type de projection, ressent la nécessité de tirer en plusieurs exemplaires chacun de ses petits films et devant l’insuffisance du nombre des copies, il lui vient l’idée de ne plus vendre les films aux exploitants, mais de les leur louer. Une révolution qui va faire fortune. Dès lors, les bases de l'industrie cinématographique apparaissent.

C'est en 1909 que le Congrès international des producteurs et distributeurs adopte le 35 mm (inventé par Edison), il met donc fin à la multiplicité de formats ainsi que d'appareils de projection sur le marché.
Léon Gaumont (1864-1946), après avoir participé à l’aventure du bioscope et du chronophonographe, deux des innombrables ancêtres du cinématographe, crée à la fois une société de production et un circuit de salles dont le plus beau fleuron sera le Gaumont Palace (créé en 1911), situé à Paris et qui sera le plus grand cinéma d’Europe avec ses 6000 places, son orgue et son gigantesque foyer.
Le cinéma de "foire" est révolu, les pionniers sont désuets. Le cinéma est un art, mais devient également une industrie.

Au sortir de la Première Guerre mondiale, le cinéma américain envahi les écrans français, ce qui fragilise les empires industriels Pathé et Gaumont.
Les Etats-Uni conquièrent le marché mondial et assurent définitivement leur puissance financière notamment grâce au succès des premiers Chaplin. Le cinéma américain est celui qui a le plus profondément façonné le cinéma au cours de son premier siècle, tant au niveau des contenus et des techniques qu'au niveau économique et culturel.
Hollywood, village de la banlieue de Los Angeles, où l'on a transformé des granges en studios, devient, dès 1914, le centre du cinéma américain. La majeure partie des programmes audiovisuels américains, ainsi que télévisuels y sont produit.
En 1935, 8 compagnies se partagent le marché du cinéma au Etats-Unis. Il y a les grandes, appelées les Majors : RKO, Metro-Goldwyn-Mayer, Paramount, Warner Bros et Twenthieth-Century-Fox, et les Minors : Universal, Columbia et United Artists. Ces compagnies possèdent leurs propres studios, techniciens et stars. La guerre est en permanence déclarée entre elles.
Désormais le producteur est soutenu par les milieux financiers de Wall Street, qui "dirige" le film. Le cinéma n'a pas été touché par la crise de 1929, ainsi les films sont l'opium du peuple...

La critique américaine Pauline Kael résuma en 1968 le style des films hollywoodiens par la formule devenue célèbre : « Kiss Kiss Bang Bang ». Aussi brève que soit la formule, elle traduit l'importance de l'action qui caractérise cette production, notamment l'importance des aspects techniques, la qualité des techniciens, la maîtrise technologique, qui ont fait et font ce cinéma : le scénario, la mise en scène, les images, le montage, la musique, le son et les effets spéciaux.
Mais le cinéma américain est également une industrie puissante et très structurée, dans laquelle le marketing et le financement sont toujours aux premiers rangs des critères de décision. Il s'inscrit également au sein du secteur du divertissement audiovisuel devenu le premier poste des revenus de l'économie des États-Unis à l'étranger. Les films produits aux États-Unis sont par exemple en Europe ceux qui réalisent la majorité des entrées en salle (62,5% des entrées).
Le cinéma hollywoodien est considéré comme le premier agent de diffusion de la culture américaine à l'étranger (conjointement avec les séries télévisées).

On peut citer l'exemple phare : Le Titanic qui est l'un des plus grands succès de l'histoire du cinéma avec onze oscars reçu en 1998. Il égale ainsi le record historique de Ben Hur et fut le plus grand succès mondial jusqu'en 2010 depuis battu par Avatar du même réalisateur. Titanic a été à sa sortie le film le plus cher jamais produit, avec des coûts avérés d'au moins 200 millions de dollars. Ce film est 1er au rang mondial des films les plus vu en box office, néanmoins aux Etats Unis il est au deuxième rang derrière Avatar.
Par ailleurs Hollywood est en rivalité avec le monde entier notamment le cinéma de Bombay (désormais appeléé Mumbai) qu'on surnomme Bollywood. Avec 1200 films par an et plus d'un million de personnes qui travaillent dans le cinéma indien, Bollywood possède un réel potentiel.



[...] ==> tableau sur l'évolution des coûts des entrées au cinéma.

Fiche hebdomadaire Antoine

NOM: MOLINIER

Prénom: Antoine

Date: 05/02/2010



TRAVAIL REALISE
Personnel oui
En groupe oui
Lieu: CDI

Tâches réalisées:
J'ai commencé le 3. du II/
J'ai aussi fait des courbes réalisées à l'aide de tableaux en coopération avec notre professeur de mathématiques.
Nous avons poursuivi la réalisation du power point.

dimanche 7 février 2010

Fiche hebdomadaire Anissa

Nom : AMER

Prénom : Anissa

Date : 05/02/10

TRAVAIL REALISE :

Personnel oui

Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :

J'ai terminée la rédaction du 3 du I, et ensuite j'ai commencée et bien avancée dans la rédaction du 1. du II.
En voici un extrait ci dessous :

[...] Dès son accession, le cinéma révèle à ses premiers producteurs son potentiel commercial. Exploité dans les foires, il constitue rapidement une « attraction » particulièrement appréciée. Ainsi Charles Pathé, qui fabrique des courts métrages destinés à ce type de projection, ressent la nécessité de tirer en plusieurs exemplaires chacun de ses petits films et devant l’insuffisance du nombre des copies, il lui vient l’idée de ne plus vendre les films aux exploitants, mais de les leur louer. Une révolution qui va faire fortune. Dès lors, les bases de l'industrie cinématographique apparaissent.C'est en 1909 que le Congrès international des producteurs et distributeurs adopte le 35 mm (inventé par Edison), il met donc fin à la multiplicité de formats ainsi que d'appareils de projection sur le marché.Léon Gaumont (1864-1946), après avoir participé à l’aventure du bioscope et du chronophonographe, deux des innombrables ancêtres du cinématographe, crée à la fois une société de production et un circuit de salles dont le plus beau fleuron sera le Gaumont Palace (créé en 1911), situé à Paris et qui sera le plus grand cinéma d’Europe avec ses 6000 places, son orgue et son gigantesque foyer.Le cinéma de "foire" est révolu, les pionniers sont désuets. Le cinéma est un art, mais devient également une industrie. [...]

Difficultées rencontrées:

Introduire les mathématiques

Solution envisagée:

Une sous-partie comportant des tableaux de statistiques, notamment dans le 1. du II pour les coûts des entrées, ....

vendredi 5 février 2010

Fiche Hebdomadaire Reda

Nom : MEHDI
Prénom : Reda
Date : 29/01/10

TRAVAIL REALISE :
Personnel oui
Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :
J'ai continué la rédaction de notre TPE. je m'occupe du 1. du I/ et je l'ai fini.

Difficultées rencontrées:
Introduire les mathématiques

Solution envisagée:
Une sous-partie comportant des tableaux de statistiques dans le II/.

jeudi 4 février 2010

Plan

I/ De la création du cinéma à ses mutations techniques
1. Le début de la cinématographie
- dates importantes, personnages qui ont aidé à sa création, début du cinéma,... .http://analysefilmique.free.fr/prehisto/kineto.php
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
.J.CRAUGHWELL Thomas, Le cinématographe (Extrait de l’ouvrage : 30 000 ans d’inventions) Publié le 13 novembre 2009.
.DELMAS Laurent et LAMY Jean-Claude, Cinéma : la grande histoire du 7ème Art. Publié le 17 février 2009

2. Le rôle de la photographie
- synchronisation des images à l'époque, les photographies et la cinématographie,...
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
.http://dmentrard.free.fr/GEOGEBRA/Maths/outils/Praxinoscope_NOIR.html
.http://dmentrard.free.fr/GEOGEBRA/Maths/outils/Prexo.html
.http://dmentrard.free.fr/GEOGEBRA/Maths/outils/Praxinoscope.html

3. Ses mutations techniques
- du muet au sonore, du noir & blanc à la couleur, vitesse des images,...
.AUZEL Dominique, Le cinéma. Publié en 25 avril 2005
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
.DELMAS Laurent et LAMY Jean-Claude, Cinéma : la grande histoire du 7ème Art. Publié le 17 février 2009

II/ L'évolution de la cinématographie et le cinéma d'aujourd'hui.
1. Le cinéma se transforme en industrie
- d'un loisir à une industrie (ex: Hollywood), la cinématographie devient un commerce, coûts du cinéma, ...
.MENTRE, Paul. Où en est le cinéma français ? Article extrait du périodique Problèmes économiques n° 2885 publié le 26 octobre 2005.
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
.DELMAS Laurent et LAMY Jean-Claude, Cinéma : la grande histoire du 7ème Art. Publié le 17 février 2009

2. L'évolution moderne du cinéma.
- nouvelle synchronisation, amélioration de la vitesse des images, nouvelles publicités pour promouvoir les nouveautés, ...
.AUZEL Dominique, Le cinéma. Publié en 25 avril 2005
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma

3. Le cinéma d'aujourd'hui.
- machines de haute technologie, cinéma en 3D, un cinéma nouveau, ...
.DELMAS Laurent et LAMY Jean-Claude, Cinéma : la grande histoire du 7ème Art. Publié le 17 février 2009

vendredi 29 janvier 2010

I/3. Ses mutations techniques

Le cinéma est né le 28 décembre 1895, à Paris, lors de la première présentation publique du cinématographe Lumière. La programmation de cette soirée était composée de quelques courts métrages muets, tournés par les frères Lumière eux-mêmes, dont L'Arrivée d'un train en gare, Sortie d'usine, Repas de bébé. Pourtant, dès ce début, le cinéma ne fut pas muet au sens strict, il y a souvent eu un accompagnement musical. Il n'y avait pas de sons synchronisés avec les images, c'est vrai. Cependant, un bonimenteur était présent pour narrer ou expliquer les images qui défilaient. Celui ci va rapidement être remplacé par le bruiteur. La mélodie ponctuée par le pianiste accompagnait certes le film mais donnait aussi la cadence de la projection.

Dès 1889, W.K.L Dickson développe un système pour synchroniser le son d'un phonographe (lecteur de disques en vinyle) d'Edison avec le kinétoscope (boîte à visionnement de films), c'est le kinétophonographe. Et c'est pourtant qu'en 1927 que le cinéma va devenir parlant avec la compagnie Warner Brothers qui utilise pour la première fois des séquences de vitaphones dans un long métrage: The Jazz Singer. A la musique et les sons s'ajoute le dialogue d'Al Jolson incluant la fameuse phrase «You ain't heard nothin' yet!» (« Vous n’avez encore rien entendu ! »)
La transition du cinéma muet au cinéma sonore est un événement bien documenté dans les annales de l'histoire du cinéma et plusieurs films permettent d'en étudier l'évolution. Singin' In The Rain (Kelly, Donen, 1952), par exemple, est une comédie musicale qui raconte justement l'histoire du passage du cinéma muet au cinéma sonore.
On peut également citer Chaplin comme l'exemple parfait de l'acteur opposé au cinéma sonore.

Un autre événement capital marque encore l’histoire de l’image du cinéma, l’apparition de la couleur. Certes l’arrivée de la couleur au cinéma a eu un impact différent de l’arrivée du son. En effet, le son a provoqué la disparition totale du muet, tandis que la couleur a eu une influence plus mitigée : le noir et blanc continuait à persister, aux côtés de la couleur. Le premier long métrage tourné en couleur date de 1935: Becky Sharp de Rouben Mamoulian.

C’est en effet en 1935 que se développe le procédé Technicolor (né en 1915) qui restera dominant jusqu’au milieu des années cinquante. S’il présentait, au début surtout, d’importants inconvénients notamment les énormes caméras, les distorsions chromatiques, le faible titrage qui nécessite beaucoup d’éclairage, la lumière va largement renforcer la fonction dramatique de l’image cinématographique.
Moins connu que le Technicolor qui est même devenu un nom commun, l'Eastmancolor est un procédé, lancé par Kodak, de reproduction de la couleur pourtant utilisé dans de nombreux films des années 1950. Contrairement au Technicolor, ce procédé impressionne les 3 couleurs de base (Rouge, Vert, Bleu) sur une seule et même pellicule, ce qui a permis une meilleure fidélité aux couleurs, mais avait l'inconvénient de ne plus permettre un étalonnage différent pour chaque couleur de base. Dans les années quarante et surtout cinquante s’installe un académisme marqué par l’obsession de la lisibilité : l’éclairage de l’acteur prime sur celui du décor, absence de relief, hantise de l’ombre et de l’obscurité.

I/2.Le rôle de la photographie

La photographie, inventée par Niepce en 1816, puis perfectionnée par Daguerre et Talbot, est une technique permettant de fixer l’image des objets sur une surface rendue sensible à la lumière par des procédés chimiques. C’est aussi un art.

Une photographie est faite par réaction chimique, c'est-à-dire, le papier photographique contient des cristaux d’halogénures qui sont sensibles à la lumière. Lorsque la lumière agit sur ces cristaux, elle provoque la formation d’argent métallique, dispersés à la surface du papier. Alors on développe avec un révélateur photographique composé de différents développeurs, ce qui permet d’augmenter les proportions pour les rendre visibles à l’œil nu. Ensuite on les fixe à l’aide d’un fixateur puis la photographie est rincée pour enlever le surplus de fixateur.
C’est la photographie qui va faire du cinéma un art particulier, autonome et industriel. Au commencement les photographies avaient besoin de plusieurs heures de pose et de développement et interdisaient tout mouvement.
Étienne-Jules Marey est l'un des premiers à percer les mystères de la locomotion animale et humaine. Durant les années 1878-1882, il met au point son « fusil photographique » qui permet de réaliser des prises de vue en rafale (douze épreuves en une seconde) dans le but de saisir et d'analyser le mouvement (chronophotographie).


Muybridge Eadweard (1830-1904), photographe américain d’origine britannique. Connu dans un premier temps pour ses paysages, Muybridge s'attacha ensuite à l'étude du mouvement, à commencer par celui du cheval. Les photographies sont prises sur une distance couverte par une multitude d'appareils côte à côte, déclenchés par le mouvement de l'animal lui-même ; à chaque pas, un cliché est effectué, la multiplication, puis la juxtaposition des images reconstituant le déplacement.


Le cinéma est composé de photographies, plus ou moins nombreuses par seconde pour définir un mouvement plus ou moins rapide. Au début de la cinématographie, la vitesse était de 16 images ou photographies par seconde. L’image par seconde est une unité de mesure . Ce qui signifie qu’il y avait 960 images (60x16) qui défilaient en une minute. C’est la succession rapide de ces images, différant en moyenne peu les unes des autres, qui, par illusion, fournit une image animée au spectateur, reproduisant notamment les mouvements et trajectoires de la vie réelle. La persistance rétinienne, l’effet phi et les techniques de projection permettent à l’être humain de voir cette série d’images discrètes en un continuum visuel.
De plus en une minute il y avait 12 mètres de pellicule, donc pour un court-métrage de 30 minutes il fallait 360 mètres de pellicules : ce qui est énorme. C’est pour cela que c’étaient des court-métrages. Les films de 35 millimètres étaient plus souvent utilisés que les 16 et 75 millimètres.
L’obligation de prendre un grand nombre de photos en une seconde, pour reconstituer le mouvement, impose un déplacement très rapide de la pellicule dans l’appareil; c’est cette contrainte qui rend l’appareil très complexe.


Définition
Continuum : ensemble d'éléments tels que l'on peut passer de l'un à l'autre de façon continue.

La persistance rétinienne et l’effet phi
La persistance rétinienne est la capacité ou défaut de l'œil à conserver une image vue superposée aux images que l'on est en train de voir. Elle est plus forte et plus longue si l'image observée est lumineuse. Ceci est dû en partie au temps de traitement biochimique du signal optique.
L’effet phi est la sensation visuelle de mouvement provoquée par l'apparition d'images perçues successives, susceptibles d'être raccordées par un déplacement ou une transformation.
Le phénomène de la persistance rétinienne nous permet de garder en mémoire une impression visuelle de quelques centaines de millisecondes mais pas de nous donner l’illusion de mouvement. C’est l’effet phi. Il se manifeste dès que deux images légèrement décalées sont présentées rapidement l’une à la suite de l’autre. Notre cerveau y voit alors automatiquement un mouvement.
Il existe une façon très simple de créer des petits films d’animation et de constater le fonctionnement de l’effet phi : les « flipbooks », il s’agit simplement de petits livres où chaque page contient un seul dessin légèrement différent du précédent. En feuilletant rapidement les pages, notre œil voit un bref instant chaque image et interprète leurs modifications successives comme du mouvement.

Sites utilisés:
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
.http://dmentrard.free.fr/GEOGEBRA/Maths/outils/Praxinoscope_NOIR.html
.http://dmentrard.free.fr/GEOGEBRA/Maths/outils/Prexo.html
.http://dmentrard.free.fr/GEOGEBRA/Maths/outils/Praxinoscope.html
.http://lecerveau.mcgill.ca/flash/i/i_02/i_02_s/i_02_s_vis/i_02_s_vis.html
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Images_par_seconde

Fiche hebdomadaire Antoine

Nom : MOLINIER
Prénom : Antoine
Date : 29/01/10

TRAVAIL REALISE :
Personnel oui
Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :
J'ai continué la rédaction de notre TPE. je m'occupe du 2. du I/ et je l'ai bientôt fini.

Difficultées rencontrées:
Introduire les mathématiques

Solution envisagée:
Une sous-partie comportant des tableaux de statistiques.

Fiche hebdomadaire Anissa

Nom : AMER
Prénom : Anissa
Date : 29/01/10

TRAVAIL REALISE :
Personnel oui
Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :
J'ai avancé dans la rédaction de notre TPE, le 3. du I/ et j'ai débuté le 1. du II/

mercredi 27 janvier 2010

I/1. La création du cinéma

Les frères Lumière sont restés dans l’histoire comme les inventeurs du cinématographe. Bien qu’ils ne soient pas les créateurs de ce mot et qu’ils se soient inspirés d’autres travaux pour mettre au point leur invention, ils furent effectivement à l’origine des premiers films de cinéma. Les frères Lumières ne voyaient en cette invention que quelque chose sans avenir. Dès le départ le cinéma se distingue de tous les médias qui l’ont précédé.

C’est en 1894, qu’Antoine Lumière demanda à ses fils Louis et Auguste de s'intéresser aux images animées sur lesquelles plusieurs pionniers travaillaient à l’époque.
Louis et Auguste Lumière ont perfectionné la croix de Malte (système qui permet à une bobine d'avancer par intermittence) toujours utilisée de nos jours.
Lors de l'Exposition universelle de Paris, ils rencontrent Thomas Edison, Georges Méliès et Émile Reynaud, l'inventeur du praxinoscope (un engin très proche du cinématographe, mais utilisé pour le dessin animé).
En 1895, ils dévoilent leur invention, le "Cinématographe Lumière", un appareil qui était à la fois une Caméra de prise de vue et un projecteur de cinéma.
Leur machine utilise la même pellicule perforée que Thomas Edison et comporte un système d’entraînement à croix de Malte.
La Première projection privée se déroula dans la résidence des frères Lumière à La Ciotat en septembre 1895 et la Première projection publique au Salon indien du Grand Café à Paris, le 28 décembre 1895.
Cette séance historique comprenait 10 films tous réalisés par Louis et Auguste Lumière en 1895, dont La Sortie des Usines Lumière, le tout premier film de l’histoire du cinéma. L’invention d’Auguste et de Louis Lumière fut acclamée par le public non seulement à Paris, mais aussi à Londres et à New York.

Avant le cinématographe de nombreuses inventions se sont succédées ce qui a permit sa création:

En 1878, les travaux photographiques d’Eadweard Muybridge permettent une première décomposition du mouvement. En 1881, il met au point un zoopraxiscope, un projecteur lui permettant de recomposer le mouvement, courses de chevaux, vols d'oiseaux ou compétitions sportives à travers la vision rapide et successive de ses phases décomposées.
Cette découverte place Muybridge parmi les précurseurs du cinéma.

Ensuite, le Français Étienne-Jules Marey cherche à perfectionner le protocole technique de Muybridge. Il invente ainsi un fusil photographique (1882) et un appareil à plaque fixe, puis à pellicule mobile (1890), dont il parvient en 1893 à projeter les images décomposées.

À la suite des travaux d’Étienne-Jules Marey et du photographe Eadweard Muybridge, l’élaboration d’un matériel capable de saisir et de restituer le mouvement dans sa continuité apparut techniquement possible.
Le premier à mettre au point un tel appareil fut William Kennedy Laurie Dickson, qui travaillait pour la société de Thomas Edison. Ancêtre de la caméra, le Kinetographe fut breveté en 1891 ; il prenait une série de photographies instantanées sur une émulsion photographique standard Eastman Kodak que l’on collait ensuite sur une bande de Celluloïd transparent de 35 mm de large, perforée de façon régulière.

La première projection eut lieu en 1893, à l’aide d’un appareil conçu également par Dickson et appelé Kinétoscope. Cet appareil, une sorte de visionneuse individuelle, était enfermé dans un grand coffret et permettait la perception d’images continues à travers un viseur. Sous cette forme, ce ne fut guère qu’une attraction foraine, toutefois fort prisée.

Les frères Lumière en reprirent alors le principe et mirent au point un projecteur : le Cinématographe. Le succès fut immédiat. D’autres chercheurs, aux États-Unis (Laurie Dickson, associé à Eugène Lauste, Thomas Armat, dont le brevet fut acheté par Edison en 1896, etc), en France (Georges Demenÿ, inventeur du Chronophotographe pour la firme Gaumont), en Allemagne (Max Skladanowsky, Oskar Messter), en Italie (Filoteo Alberini) et en Grande-Bretagne (Robert William Paul), mettaient au point à la même époque des brevets concurrents ou complémentaires (voire des contrefaçons) des brevets Edison ou Lumière.
Très vite, le format de pellicule de 35 mm défini par Edison et la vitesse de projection de 16 images par seconde du Cinématographe Lumière devinrent des standards.
Il ne manquait qu’un système pratique de synchronisation du son : le Vitaphone en 1926, puis le Movietone en 1931 — pour que les fondements techniques du cinéma moderne fussent tous réunis.

Fiche Hebdomadaire Reda

Nom: MEHDI

Prénom: Reda

Date: 22/01/2010

TRAVAIL REALISE:

Personnel

Lieu: CDI

Tâches réalisées: Nous avons continué la rédaction de nos parties.

I/1. La création du cinéma



Les frères Lumière sont restés dans l’histoire comme les inventeurs du cinématographe. Bien qu’ils ne soient pas les créateurs de ce mot et qu’ils se soient inspirés d’autres travaux pour mettre au point leur invention, ils furent effectivement à l’origine des premiers films de cinéma. Ils ne voyaient en cette invention que quelque chose sans avenir. Dès le départ le cinéma se distingue de tous les médias qui l’ont précédé.
C’est en 1894, qu’Antoine Lumière demanda à ses fils Louis et Auguste de s'intéresser aux images animées sur lesquelles plusieurs pionniers travaillaient à l’époque.
Louis et Auguste Lumière ont perfectionné la croix de Malte (système qui permet à une bobine d'avancer par intermittence) toujours utilisée de nos jours.
Lors de l'Exposition universelle de Paris, ils rencontrent Thomas Edison et Georges Méliès. En 1895, ils dévoilent leur invention, le "Cinématographe Lumière", un appareil qui était à la fois une Caméra de prise de vue et un projecteur de cinéma.
Leur machine utilise la même pellicule perforée que Thomas Edison et comporte un système d’entraînement à croix de Malte.
La Première projection privée se déroula dans la résidence des frères Lumière à La Ciotat en septembre 1895 et la Première projection publique au Salon indien du Grand Café à Paris, le 28 décembre 1895.

Cette séance historique comprenait 10 films tous réalisés par Louis et Auguste Lumière en 1895, dont La Sortie des Usines Lumière, le tout premier film de l’histoire du cinéma. L’invention d’Auguste et de Louis Lumière fut acclamée par le public non seulement à Paris, mais aussi à Londres et à New York.

Avant le cinématographe de nombreuses inventions se sont succédées ce qui a permit sa création.

En 1878, les travaux photographiques d’Eadweard Muybridge permettent une première décomposition du mouvement. En 1881, il met au point un zoopraxiscope, un projecteur lui permettant de recomposer le mouvement, courses de chevaux, vols d'oiseaux ou compétitions sportives à travers la vision rapide et successive de ses phases décomposées.

Cette découverte place Muybridge parmi les précurseurs du cinéma.

Ensuite, le Français Étienne-Jules Marey cherche à perfectionner le protocole technique de Muybridge. Il invente ainsi un fusil photographique (1882) et un appareil à plaque fixe, puis à pellicule mobile (1890), dont il parvient en 1893 à projeter les images décomposées.

À la suite des travaux d’Étienne-Jules Marey et du photographe Eadweard Muybridge, l’élaboration d’un matériel capable de saisir et de restituer le mouvement dans sa continuité apparut techniquement possible.

Le premier à mettre au point un tel appareil fut William Kennedy Laurie Dickson, qui travaillait pour la société de Thomas Edison. Ancêtre de la caméra, le Kinetographe fut breveté en 1891 ; il prenait une série de photographies instantanées sur une émulsion photographique standard Eastman Kodak que l’on collait ensuite sur une bande de Celluloïd transparent de 35 mm de large, perforée de façon régulière.

La première projection eut lieu en 1893, à l’aide d’un appareil conçu également par Dickson et appelé Kinétoscope. Cet appareil, une sorte de visionneuse individuelle, était enfermé dans un grand coffret et permettait la perception d’images continues à travers un viseur. Sous cette forme, ce ne fut guère qu’une attraction foraine, toutefois fort prisée.

Les frères Lumière en reprirent alors le principe et mirent au point un projecteur : le Cinématographe. Le succès fut immédiat. D’autres chercheurs, aux États-Unis (Laurie Dickson, associé à Eugène Lauste, Thomas Armat, dont le brevet fut acheté par Edison en 1896, etc), en France (Georges Demenÿ, inventeur du Chronophotographe pour la firme Gaumont), en Allemagne (Max Skladanowsky, Oskar Messter), en Italie (Filoteo Alberini) et en Grande-Bretagne (Robert William Paul), mettaient au point à la même époque des brevets concurrents ou complémentaires (voire des contrefaçons) des brevets Edison ou Lumière.
Très vite, le format de pellicule de 35 mm défini par Edison et la vitesse de projection de 16 images par seconde du Cinématographe Lumière devinrent des standards.
Il ne manquait qu’un système pratique de synchronisation du son : le Vitaphone en 1926, puis le Movietone en 1931 — pour que les fondements techniques du cinéma moderne fussent tous réunis.

mardi 26 janvier 2010

Fiche hebdomadaire Anissa

Nom : AMER

Prénom : Anissa

Date : 22/01/10

TRAVAIL REALISE :

En groupe oui
Personnel oui

Lieu : C.D.I

Tâches réalisées : J'ai avancée dans la rédaction de notre TPE, notamment le 3. du I qui est "ses mutations techniques", qui se trouve ci dessous :

I.3 Ses mutations techniques.

Le cinéma est né le 28 décembre 1895, à Paris, lors de la première présentation publique du cinématographe Lumière. La programmation de cette soirée était composée de quelques courts métrages muets, tournés par les frères Lumière eux-mêmes, dont L'Arrivée d'un train en gare, Sortie d'usine, Repas de bébé. Pourtant, dès ce début, le cinéma ne fut pas muet au sens strict, il y a souvent eu un accompagnement musical. Il n'y avait pas de sons synchronisés avec les images, c'est vrai. Cependant, un bonimenteur était présent pour narrer ou expliquer les images qui défilaient. Celui ci va rapidement être remplacé par le bruiteur. La mélodie ponctuée par le pianiste accompagnait certes le film mais donnait aussi la cadence de la projection.Dès 1889, W.K.L Dickson développe un système pour synchroniser le son d'un phonographe (lecteur de disques en vinyle) d'Edison avec le kinétoscope (boîte à visionnement de films), c'est le kinétophonographe. Et c'est pourtant qu'en 1927 que le cinéma va devenir parlant avec la compagnie Warner Brothers qui utilise pour la première fois des séquences de vitaphones dans un long métrage: The Jazz Singer. A la musique et les sons s'ajoute le dialogue d'Al Jolson incluant la fameuse phrase «You ain't heard nothin' yet!» (« Vous n’avez encore rien entendu ! »)
La transition du cinéma muet au cinéma sonore est un événement bien documenté dans les annales de l'histoire du cinéma et plusieurs films permettent d'en étudier l'évolution. Singin' In The Rain (Kelly, Donen, 1952), par exemple, est une comédie musicale qui raconte justement l'histoire du passage du cinéma muet au cinéma sonore. On peut également citer Chaplin comme l'exemple parfait de l'acteur opposé au cinéma sonore.
Un autre événement capital marque encore l’histoire de l’image du cinéma, l’apparition de la couleur. C’est en 1935 que se développe le procédé Technicolor (né en 1915) qui restera dominant jusqu’au milieu des années cinquante. S’il présentait, au début surtout, d’importants inconvénients notamment les énormes caméras, les distorsions chromatiques, le faible titrage qui nécessite beaucoup d’éclairage, la lumière va largement renforcer la fonction dramatique de l’image cinématographique.
Moins connu que le technicolor qui est même devenu un nom commun, l'Eastmancolor est un procédé, lancé par Kodak, de reproduction de la couleur pourtant utilisé dans de nombreux films des années 1950. Contrairement au technicolor, ce procédé impressionne les 3 couleurs de base (Rouge, Vert, Bleu) sur une seule et même pellicule, ce qui a permis une meilleure fidélité aux couleurs, mais avait l'inconvénient de ne plus permettre un étalonnage différent pour chaque couleur de base.
Dans les années quarante et surtout cinquante s’installe un académisme marqué par l’obsession de la lisibilité : l’éclairage de l’acteur prime sur celui du décor, absence de relief, hantise de l’ombre et de l’obscurité.

dimanche 24 janvier 2010

I/ 2. le rôle de la photographie

I/ 2. Le rôle de la photographie
La photographie, inventée par Niepce en 1816, puis perfectionnée par Daguerre et Talbot, est une technique permettant de fixer l’image des objets sur une surface rendue sensible à la lumière par des procédés chimiques. C’est aussi un art.
Une photographie est faite par réaction chimique, c'est-à-dire, le papier photographique contient des cristaux d’halogénures qui sont sensibles à la lumière. Lorsque la lumière agit sur ces cristaux, elle provoque la formation d’argent métallique, dispersés à la surface du papier. Alors on développe avec un révélateur photographique composé de différents développeurs, ce qui permet d’augmenter les proportions pour les rendre visibles à l’œil nu. Ensuite on les fixe à l’aide d’un fixateur puis la photographie est rincée pour enlever le surplus de fixateur.
C’est la photographie qui va faire du cinéma un art particulier, autonome et industriel. Au commencement les photographies avaient besoin de plusieurs heures de pose et de développement et interdisaient tout mouvement.
Étienne-Jules Marey est l'un des premiers à percer les mystères de la locomotion animale et humaine. Durant les années 1878-1882, il met au point son « fusil photographique » qui permet de réaliser des prises de vue en rafale (douze épreuves en une seconde) dans le but de saisir et d'analyser le mouvement (chronophotographie).
Muybridge Eadweard (1830-1904), photographe américain d’origine britannique. Connu dans un premier temps pour ses paysages, Muybridge s'attacha ensuite à l'étude du mouvement, à commencer par celui du cheval. Les photographies sont prises sur une distance couverte par une multitude d'appareils côte à côte, déclenchés par le mouvement de l'animal lui-même ; à chaque pas, un cliché est effectué, la multiplication, puis la juxtaposition des images reconstituant le déplacement.
Le cinéma est composé de photographies, plus ou moins nombreuses par seconde pour définir un mouvement plus ou moins rapide. Au début de la cinématographie, la vitesse était de 16 images ou photographies par seconde. Ce qui signifie qu’il y avait 960 images (60x16) qui défilaient en une minute. C’est la succession rapide de ces images, différant en moyenne peu les unes des autres, qui, par illusion, fournit une image animée au spectateur, reproduisant notamment les mouvements et trajectoires de la vie réelle. La persistance rétinienne, l’effet phi et les techniques de projection permettent à l’être humain de voir cette série d’images discrètes en un continuum visuel.
De plus en une minute il y avait 12 mètres de pellicule, donc pour un court-métrage de 30 minutes il fallait 360 mètres de pellicules : ce qui est énorme. C’est pour cela que c’étaient des court-métrages. Les films de 35 millimètres étaient plus souvent utilisés que les 16 et 75 millimètres.
L’obligation de prendre un grand nombre de photos en une seconde, pour reconstituer le mouvement, impose un déplacement très rapide de la pellicule dans l’appareil; c’est cette contrainte qui rend l’appareil très complexe.

Définition
Persistance rétinienne : capacité ou défaut de l'œil à conserver une image vue superposée aux images que l'on est en train de voir.
Effet phi : sensation visuelle de mouvement provoquée par l'apparition d'images perçues successives, susceptibles d'être raccordées par un déplacement ou une transformation.
Continuum : ensemble d'éléments tels que l'on peut passer de l'un à l'autre de façon continue.

Fiche hebdomadaire Antoine

Nom: MOLINIER

Prénom: Antoine

Date: 22/01/2010



TRAVAIL REALISE :
Personnel
Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :
Nous avons continué la rédaction de la première grande partie, chacun de son côté puis nous avons lu chaques travaux en fin des deux heures
Voici le 2 de la première partie I

I/ 2. Le rôle de la photographie
La photographie, inventée par Niepce en 1816, puis perfectionnée par Daguerre et Talbot, est une technique permettant de fixer l’image des objets sur une surface rendue sensible à la lumière par des procédés chimiques. C’est aussi un art.
Une photographie est faite par réaction chimique, c'est-à-dire, le papier photographique contient des cristaux d’halogénures qui sont sensibles à la lumière. Lorsque la lumière agit sur ces cristaux, elle provoque la formation d’argent métallique, dispersés à la surface du papier. Alors on développe avec un révélateur photographique composé de différents développeurs, ce qui permet d’augmenter les proportions pour les rendre visibles à l’œil nu. Ensuite on les fixe à l’aide d’un fixateur puis la photographie est rincée pour enlever le surplus de fixateur.
C’est la photographie qui va faire du cinéma un art particulier, autonome et industriel. Au commencement les photographies avaient besoin de plusieurs heures de pose et de développement et interdisaient tout mouvement.
Étienne-Jules Marey est l'un des premiers à percer les mystères de la locomotion animale et humaine. Durant les années 1878-1882, il met au point son « fusil photographique » qui permet de réaliser des prises de vue en rafale (douze épreuves en une seconde) dans le but de saisir et d'analyser le mouvement (chronophotographie).
Muybridge Eadweard (1830-1904), photographe américain d’origine britannique. Connu dans un premier temps pour ses paysages, Muybridge s'attacha ensuite à l'étude du mouvement, à commencer par celui du cheval. Les photographies sont prises sur une distance couverte par une multitude d'appareils côte à côte, déclenchés par le mouvement de l'animal lui-même ; à chaque pas, un cliché est effectué, la multiplication, puis la juxtaposition des images reconstituant le déplacement.
Le cinéma est composé de photographies, plus ou moins nombreuses par seconde pour définir un mouvement plus ou moins rapide. Au début de la cinématographie, la vitesse était de 24 images ou photographies par seconde. Ce qui signifie qu’il y avait 960 images (60x16) qui défilaient en une minute. C’est la succession rapide de ces images, différant en moyenne peu les unes des autres, qui, par illusion, fournit une image animée au spectateur, reproduisant notamment les mouvements et trajectoires de la vie réelle. La persistance rétinienne, l’effet phi et les techniques de projection permettent à l’être humain de voir cette série d’images discrètes en un continuum visuel.
De plus en une minute il y avait 12 mètres de pellicule, donc pour un court-métrage de 30 minutes il fallait 360 mètres de pellicules : ce qui est énorme. C’est pour cela que c’étaient des court-métrages. Les films de 35 millimètres étaient plus souvent utilisés que les 16 et 75 millimètres.
L’obligation de prendre un grand nombre de photos en une seconde, pour reconstituer le mouvement, impose un déplacement très rapide de la pellicule dans l’appareil; c’est cette contrainte qui rend l’appareil très complexe.

Définition
Persistance rétinienne : capacité ou défaut de l'oeil à conserver une image vue superposée aux images que l'on est en train de voir.
Effet phi : sensation visuelle de mouvement provoquée par l'apparition d'images perçues successives, susceptibles d'être raccordées par un déplacement ou une transformation.
Continuum : ensemble d'éléments tels que l'on peut passer de l'un à l'autre de façon continue.

vendredi 22 janvier 2010

Fiche Hebdomadaire Reda

Nom: MEHDI
Prénom: Reda
Date: 15/01/2010

TRAVAIL REALISE :
Personnel
Lieu : C.D.I

Tâches réalisées : Nous avons fait une rencontre élèves-professeurs, puis j'ai commencé la rédaction de la première partie: "le début de la cinématographie".

mardi 19 janvier 2010

I/ 3. Ses mutations techniques

[...]Le cinéma est né le 28 décembre 1895, à Paris, lors de la première présentation publique du cinématographe Lumière. La programmation de cette soirée était composée de quelques courts métrages muets, tournés par les frères Lumière eux-mêmes, dont L'Arrivée d'un train en gare, Sortie d'usine, Repas de bébé. Pourtant, dès ce début, le cinéma ne fut pas muet au sens strict, il y a souvent eu un accompagnement musical. Il n'y avait pas de sons synchronisés avec les images, c'est vrai. Cependant, un bonimenteur était présent pour narrer ou expliquer les images qui défilaient. Celui ci va rapidement être remplacé par le bruiteur. La mélodie ponctuée par le pianiste accompagnait certes le film mais donnait aussi la cadence de la projection.
Dès 1889, W.K.L Dickson développe un système pour synchroniser le son d'un phonographe (lecteur de disques en vinyle) d'Edison avec le kinétoscope (boîte à visionnement de films), c'est le kinétophonographe. Et c'est pourtant qu'en 1927 que le cinéma va devenir parlant avec la compagnie Warner Brothers qui utilise pour la première fois des séquences de vitaphones dans un long métrage: The Jazz Singer. A la musique et les sons s'ajoute le dialogue d'Al Jolson incluant la fameuse phrase «You ain't heard nothin' yet!».
La transition du cinéma muet au cinéma sonore est un événement bien documenté dans les annales de l'histoire du cinéma et plusieurs films permettent d'en étudier l'évolution. Singin' In The Rain (Kelly, Donen, 1952), par exemple, est une comédie musicale qui raconte justement l'histoire du passage du cinéma muet au cinéma sonore.On peut également citer Chaplin comme l'exemple parfait de l'acteur opposé au cinéma sonore. [..]

Introduction 2

Le terme « cinéma » est l’apocope de « cinématographe » (du grec κίνημα / kínēma, « mouvement » et γράφειν / gráphein, « écrire »).
Le cinéma est un art du spectacle. Il expose au public un film, c’est-à-dire une œuvre composée d’images en mouvement projetées sur un support, généralement un écran blanc, et accompagnées la plupart du temps d’une bande sonore. Ce mot polysémique peut donc désigner l’art, sa technique ou encore, la salle dans laquelle il est projeté.
Depuis son invention, le cinéma est devenu à la fois un art populaire, un divertissement, une industrie et un média. Il peut aussi être utilisé à des fins de propagande, de pédagogie ou de recherche scientifique. En français, on le désigne couramment comme le « septième art ».
L’histoire du cinéma commence il y a bien longtemps mais on ne saurait la dater précisément. Mais on peut considérer qu’il débute avec le théâtre des ombres, ce dernier existe depuis plus de 3000 ans en Extrême-Orient.
Le cinéma, différent du théâtre des ombres, de l’imitation, de la photographie … mais appartenant à la même famille, est une combinaison de cadrage, de montage, de corps, d’espaces, d’objets, de sons, de musiques et d’un rapport à la réalité qui lui est propre par son mode d’enregistrement. Cette technique permet de conserver et de faire revivre des textes, des actions, des émotions.
Le cinéma est un art qui permet aux hommes de cultiver leur besoin de raconter, de vivre et de faire partager leurs rêves. Il implique le spectateur dans une situation immédiate et suscite une émotion qui peut être d'ordre esthétique.
Dans l'histoire de la cinématographie, quel a été le rôle de la vitesse et de la synchronisation?
Par souci de clarté, nous avons décidé de décomposer les travaux personnels encadrés en deux grandes parties : De la création du cinéma à ses mutations techniques et L'évolution de la cinématographie et le cinéma d'aujourd'hui.

dimanche 17 janvier 2010

Fiche hebdomadaire Anissa

Nom: AMER

Prénom: Anissa

Date: 15/01/2010

TRAVAIL REALISE :

En groupe oui

Personnel oui

Lieu : C.D.I

Tâches réalisées : Durant cette séance nous avons tout d'abord commencé par une rencontre professeurs-élèves durant laquelle nos professeurs ont fait le point avec nous sur ce qui n'allait pas. Après cette mise au point j'ai commencé la rédaction de la partie 3 du I (Ses mutations techniques), l'extrait est ci-dessous.


[...]Le cinéma est né le 28 décembre 1895, à Paris, lors de la première présentation publique du cinématographe Lumière. La programmation de cette soirée était composée de quelques courts métrages muets, tournés par les frères Lumière eux-mêmes, dont L'Arrivée d'un train en gare, Sortie d'usine, Repas de bébé. Pourtant, dès ce début, le cinéma ne fut pas muet au sens strict, il y a souvent eu un accompagnement musical. Il n'y avait pas de sons synchronisés avec les images, c'est vrai. Cependant, un bonimenteur était présent pour narrer ou expliquer les images qui défilaient. Celui ci va rapidement être remplacé par le bruiteur. La mélodie ponctuée par le pianiste accompagnait certes le film mais donnait aussi la cadence de la projection.
Dès 1889, W.K.L Dickson développe un système pour synchroniser le son d'un phonographe (lecteur de disques en vinyle) d'Edison avec le kinétoscope (boîte à visionnement de films), c'est le kinétophonographe. Et c'est pourtant qu'en 1927 que le cinéma va devenir parlant avec la compagnie Warner Brothers qui utilise pour la première fois des séquences de vitaphones dans un long métrage: The Jazz Singer. A la musique et les sons s'ajoute le dialogue d'Al Jolson incluant la fameuse phrase «You ain't heard nothin' yet!».
La transition du cinéma muet au cinéma sonore est un événement bien documenté dans les annales de l'histoire du cinéma et plusieurs films permettent d'en étudier l'évolution. Singin' In The Rain (Kelly, Donen, 1952), par exemple, est une comédie musicale qui raconte justement l'histoire du passage du cinéma muet au cinéma sonore.On peut également citer Chaplin comme l'exemple parfait de l'acteur opposé au cinéma sonore. [..]

vendredi 15 janvier 2010

Fiche hebdomadaire Antoine

Nom: MOLINIER
Prénom: Antoine
Date: 15/01/2010


TRAVAIL REALISE :

En groupe oui
Personnel oui
Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :
Nous avons fait une rencontre élèves-professeurs où les professeurs nous ont dit ce qui n'allait pas et ce qui était bien.

Ensuite j'ai commencé à rédiger sur brouillon l'introduction:

Le terme « cinéma » est l’apocope de « cinématographe » (du grec κίνημα / kínēma, « mouvement » et γράφειν / gráphein, « écrire »).
Le cinéma est un art du spectacle. Il expose au public un film, c’est-à-dire une œuvre composée d’images en mouvement projetées sur un support, généralement un écran blanc, et accompagnées la plupart du temps d’une bande sonore. Ce mot polysémique peut donc désigner l’art, sa technique ou encore, la salle dans laquelle il est projeté.
Depuis son invention, le cinéma est devenu à la fois un art populaire, un divertissement, une industrie et un média. Il peut aussi être utilisé à des fins de propagande, de pédagogie ou de recherche scientifique. En français, on le désigne couramment comme le « septième art ».
L’histoire du cinéma commence il y a bien longtemps mais on ne saurait la dater précisément. Mais on peut considérer qu’il débute avec le théâtre des ombres, ce dernier existe depuis plus de 3000 ans en Extrême-Orient.
Le cinéma, différent du théâtre des ombres, de l’imitation, de la photographie … mais appartenant à la même famille, est une combinaison de cadrage, de montage, de corps, d’espaces, d’objets, de sons, de musiques et d’un rapport à la réalité qui lui est propre par son mode d’enregistrement. Cette technique permet de conserver et de faire revivre des textes, des actions, des émotions.
Le cinéma est un art qui permet aux hommes de cultiver leur besoin de raconter, de vivre et de faire partager leurs rêves. Il implique le spectateur dans une situation immédiate et suscite une émotion qui peut être d'ordre esthétique.
Dans l'histoire de la cinématographie, quel a été le rôle de la vitesse et de la synchronisation?
Par souci de clarté, nous avons décidé de décomposer les travaux personnels encadrés en deux grandes parties : De la création du cinéma à ses mutations techniques et L'évolution de la cinématographie et le cinéma d'aujourd'hui.

Difficultées rencontrées:
Nous n'avons toujours pas réussi à rendre mieux visible le texte à cause de l'image.

vendredi 8 janvier 2010

Fiche hebdomadaire Anissa

Nom : AMER
Prénom : Anissa
Date : 08/01/10

TRAVAIL REALISE :

En groupe oui
Personnel oui

Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :

Réalisation de la fiche étape n°3.

Fiche hebdomadaire Antoine

Nom : MOLINIER
Prénom : Antoine
Date : 08/01/10

TRAVAIL REALISE :

En groupe oui
Personnel oui

Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :

Réalisation de la fiche étape n°3

Fiche hebdomadaire Reda

Nom : MEHDI
Prénom : Reda
Date : 08/01/10

TRAVAIL REALISE :

En groupe non
Personnel oui

Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :

Recherche d'informations supplémentaire et publication de la bibliographie.

Fiche étape n°3

Groupe: AMER Anissa, MEHDI Reda et MOLINIER Antoine

Thème: Les avancées scientifiques et réalisations techniques

Sujet: La cinématographie

Problématique: Dans l'histoire de la cinématographie, quel a été le rôle de la vitesse et de la synchronisation?


Plan:

I/ De la création du cinéma à ses mutations techniques
1. Le début de la cinématographie
- dates importantes, personnages qui ont aidé à sa création, début du cinéma,...
.http://analysefilmique.free.fr/prehisto/kineto.php
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
.J.CRAUGHWELL Thomas, Le cinématographe (Extrait de l’ouvrage : 30 000 ans d’inventions) Publié le 13 novembre 2009.
.DELMAS Laurent et LAMY Jean-Claude, Cinéma : la grande histoire du 7ème Art. Publié le 17 février 2009

2. Le rôle de la photographie
- synchronisation des images à l'époque, les photographies et la cinématographie,...
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
.http://dmentrard.free.fr/GEOGEBRA/Maths/outils/Praxinoscope_NOIR.html
.http://dmentrard.free.fr/GEOGEBRA/Maths/outils/Prexo.html
.http://dmentrard.free.fr/GEOGEBRA/Maths/outils/Praxinoscope.html

3. Ses mutations techniques
- du muet au sonore, du noir & blanc à la couleur, vitesse des images,...
.AUZEL Dominique, Le cinéma. Publié en 25 avril 2005
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
.DELMAS Laurent et LAMY Jean-Claude, Cinéma : la grande histoire du 7ème Art. Publié le 17 février 2009

II/ L'évolution de la cinématographie et le cinéma d'aujourd'hui.

1. Le cinéma se transforme en industrie
- d'un loisir à une industrie (ex: Hollywood), la cinématographie devient un commerce, coûts du cinéma, ...
.MENTRE, Paul. Où en est le cinéma français ? Article extrait du périodique Problèmes économiques n° 2885 publié le 26 octobre 2005.
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
.DELMAS Laurent et LAMY Jean-Claude, Cinéma : la grande histoire du 7ème Art. Publié le 17 février 2009

2. L'évolution moderne du cinéma.
- nouvelle synchronisation, amélioration de la vitesse des images, nouvelles publicités pour promouvoir les nouveautés, ...
.AUZEL Dominique, Le cinéma. Publié en 25 avril 2005
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma

3. Le cinéma d'aujourd'hui.
- machines de haute technologie, cinéma en 3D, un cinéma nouveau, ...
.DELMAS Laurent et LAMY Jean-Claude, Cinéma : la grande histoire du 7ème Art. Publié le 17 février 2009

samedi 2 janvier 2010

Fiche hebdomadaire Reda

Nom : MEHDI
Prénom : Reda
Date : 18/12/09

TRAVAIL REALISE :
En groupe oui
Personnel oui
Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :
Nous avons un plan:
I/De la création du cinéma à ses changements majeurs
1. Les débuts de la cinématographie
=> sa création, les oeuvres d'autres créateurs qui ont participé ...
2. Le rôle de la photographie
=> synchronisation des images de l'époque, vitesse ...
3. Les changements majeurs
=>cinéma muet devenu sonore, noir et blanc qui passe en couleurs, vitesse ...

II/L'évolution de la cinématographie et le cinéma d'aujourd'hui
1. Le cinéma se transforme en industrie
=> D'un loisir à une industrie (Hollywood), coûts, commerce ...
2. L'évolution moderne du cinéma
=> Nouvelles synchronisations et vitesses ...
3. Le cinéma d'aujourd'hui
=> Hautes technologies, design, cinéma en 3D ...

Nous avons mis sur notre blog notre bibliographie d'excel

Difficultés rencontrées (non résolues) : Aucune

Fiche hebdomadaire Anissa

Nom : AMER
Prénom : Anissa
Date : 18/12/09

TRAVAIL REALISE :
En groupe oui
Personnel oui
Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :
Nous avons un plan:
I/De la création du cinéma à ses changements majeurs
1. Les débuts de la cinématographie
=> sa création, les oeuvres d'autres créateurs qui ont participé ...
2. Le rôle de la photographie
=> synchronisation des images de l'époque, vitesse ...
3. Les changements majeurs
=>cinéma muet devenu sonore, noir et blanc qui passe en couleurs, vitesse ...

II/L'évolution de la cinématographie et le cinéma d'aujourd'hui
1. Le cinéma se transforme en industrie
=> D'un loisir à une industrie (Hollywood), coûts, commerce ...
2. L'évolution moderne du cinéma
=> Nouvelles synchronisations et vitesses ...
3. Le cinéma d'aujourd'hui
=> Hautes technologies, design, cinéma en 3D ...
Nous avons mis sur notre blog notre bibliographie d'excel

Difficultés rencontrées (non résolues) : Aucune