vendredi 29 janvier 2010

I/3. Ses mutations techniques

Le cinéma est né le 28 décembre 1895, à Paris, lors de la première présentation publique du cinématographe Lumière. La programmation de cette soirée était composée de quelques courts métrages muets, tournés par les frères Lumière eux-mêmes, dont L'Arrivée d'un train en gare, Sortie d'usine, Repas de bébé. Pourtant, dès ce début, le cinéma ne fut pas muet au sens strict, il y a souvent eu un accompagnement musical. Il n'y avait pas de sons synchronisés avec les images, c'est vrai. Cependant, un bonimenteur était présent pour narrer ou expliquer les images qui défilaient. Celui ci va rapidement être remplacé par le bruiteur. La mélodie ponctuée par le pianiste accompagnait certes le film mais donnait aussi la cadence de la projection.

Dès 1889, W.K.L Dickson développe un système pour synchroniser le son d'un phonographe (lecteur de disques en vinyle) d'Edison avec le kinétoscope (boîte à visionnement de films), c'est le kinétophonographe. Et c'est pourtant qu'en 1927 que le cinéma va devenir parlant avec la compagnie Warner Brothers qui utilise pour la première fois des séquences de vitaphones dans un long métrage: The Jazz Singer. A la musique et les sons s'ajoute le dialogue d'Al Jolson incluant la fameuse phrase «You ain't heard nothin' yet!» (« Vous n’avez encore rien entendu ! »)
La transition du cinéma muet au cinéma sonore est un événement bien documenté dans les annales de l'histoire du cinéma et plusieurs films permettent d'en étudier l'évolution. Singin' In The Rain (Kelly, Donen, 1952), par exemple, est une comédie musicale qui raconte justement l'histoire du passage du cinéma muet au cinéma sonore.
On peut également citer Chaplin comme l'exemple parfait de l'acteur opposé au cinéma sonore.

Un autre événement capital marque encore l’histoire de l’image du cinéma, l’apparition de la couleur. Certes l’arrivée de la couleur au cinéma a eu un impact différent de l’arrivée du son. En effet, le son a provoqué la disparition totale du muet, tandis que la couleur a eu une influence plus mitigée : le noir et blanc continuait à persister, aux côtés de la couleur. Le premier long métrage tourné en couleur date de 1935: Becky Sharp de Rouben Mamoulian.

C’est en effet en 1935 que se développe le procédé Technicolor (né en 1915) qui restera dominant jusqu’au milieu des années cinquante. S’il présentait, au début surtout, d’importants inconvénients notamment les énormes caméras, les distorsions chromatiques, le faible titrage qui nécessite beaucoup d’éclairage, la lumière va largement renforcer la fonction dramatique de l’image cinématographique.
Moins connu que le Technicolor qui est même devenu un nom commun, l'Eastmancolor est un procédé, lancé par Kodak, de reproduction de la couleur pourtant utilisé dans de nombreux films des années 1950. Contrairement au Technicolor, ce procédé impressionne les 3 couleurs de base (Rouge, Vert, Bleu) sur une seule et même pellicule, ce qui a permis une meilleure fidélité aux couleurs, mais avait l'inconvénient de ne plus permettre un étalonnage différent pour chaque couleur de base. Dans les années quarante et surtout cinquante s’installe un académisme marqué par l’obsession de la lisibilité : l’éclairage de l’acteur prime sur celui du décor, absence de relief, hantise de l’ombre et de l’obscurité.

I/2.Le rôle de la photographie

La photographie, inventée par Niepce en 1816, puis perfectionnée par Daguerre et Talbot, est une technique permettant de fixer l’image des objets sur une surface rendue sensible à la lumière par des procédés chimiques. C’est aussi un art.

Une photographie est faite par réaction chimique, c'est-à-dire, le papier photographique contient des cristaux d’halogénures qui sont sensibles à la lumière. Lorsque la lumière agit sur ces cristaux, elle provoque la formation d’argent métallique, dispersés à la surface du papier. Alors on développe avec un révélateur photographique composé de différents développeurs, ce qui permet d’augmenter les proportions pour les rendre visibles à l’œil nu. Ensuite on les fixe à l’aide d’un fixateur puis la photographie est rincée pour enlever le surplus de fixateur.
C’est la photographie qui va faire du cinéma un art particulier, autonome et industriel. Au commencement les photographies avaient besoin de plusieurs heures de pose et de développement et interdisaient tout mouvement.
Étienne-Jules Marey est l'un des premiers à percer les mystères de la locomotion animale et humaine. Durant les années 1878-1882, il met au point son « fusil photographique » qui permet de réaliser des prises de vue en rafale (douze épreuves en une seconde) dans le but de saisir et d'analyser le mouvement (chronophotographie).


Muybridge Eadweard (1830-1904), photographe américain d’origine britannique. Connu dans un premier temps pour ses paysages, Muybridge s'attacha ensuite à l'étude du mouvement, à commencer par celui du cheval. Les photographies sont prises sur une distance couverte par une multitude d'appareils côte à côte, déclenchés par le mouvement de l'animal lui-même ; à chaque pas, un cliché est effectué, la multiplication, puis la juxtaposition des images reconstituant le déplacement.


Le cinéma est composé de photographies, plus ou moins nombreuses par seconde pour définir un mouvement plus ou moins rapide. Au début de la cinématographie, la vitesse était de 16 images ou photographies par seconde. L’image par seconde est une unité de mesure . Ce qui signifie qu’il y avait 960 images (60x16) qui défilaient en une minute. C’est la succession rapide de ces images, différant en moyenne peu les unes des autres, qui, par illusion, fournit une image animée au spectateur, reproduisant notamment les mouvements et trajectoires de la vie réelle. La persistance rétinienne, l’effet phi et les techniques de projection permettent à l’être humain de voir cette série d’images discrètes en un continuum visuel.
De plus en une minute il y avait 12 mètres de pellicule, donc pour un court-métrage de 30 minutes il fallait 360 mètres de pellicules : ce qui est énorme. C’est pour cela que c’étaient des court-métrages. Les films de 35 millimètres étaient plus souvent utilisés que les 16 et 75 millimètres.
L’obligation de prendre un grand nombre de photos en une seconde, pour reconstituer le mouvement, impose un déplacement très rapide de la pellicule dans l’appareil; c’est cette contrainte qui rend l’appareil très complexe.


Définition
Continuum : ensemble d'éléments tels que l'on peut passer de l'un à l'autre de façon continue.

La persistance rétinienne et l’effet phi
La persistance rétinienne est la capacité ou défaut de l'œil à conserver une image vue superposée aux images que l'on est en train de voir. Elle est plus forte et plus longue si l'image observée est lumineuse. Ceci est dû en partie au temps de traitement biochimique du signal optique.
L’effet phi est la sensation visuelle de mouvement provoquée par l'apparition d'images perçues successives, susceptibles d'être raccordées par un déplacement ou une transformation.
Le phénomène de la persistance rétinienne nous permet de garder en mémoire une impression visuelle de quelques centaines de millisecondes mais pas de nous donner l’illusion de mouvement. C’est l’effet phi. Il se manifeste dès que deux images légèrement décalées sont présentées rapidement l’une à la suite de l’autre. Notre cerveau y voit alors automatiquement un mouvement.
Il existe une façon très simple de créer des petits films d’animation et de constater le fonctionnement de l’effet phi : les « flipbooks », il s’agit simplement de petits livres où chaque page contient un seul dessin légèrement différent du précédent. En feuilletant rapidement les pages, notre œil voit un bref instant chaque image et interprète leurs modifications successives comme du mouvement.

Sites utilisés:
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
.http://dmentrard.free.fr/GEOGEBRA/Maths/outils/Praxinoscope_NOIR.html
.http://dmentrard.free.fr/GEOGEBRA/Maths/outils/Prexo.html
.http://dmentrard.free.fr/GEOGEBRA/Maths/outils/Praxinoscope.html
.http://lecerveau.mcgill.ca/flash/i/i_02/i_02_s/i_02_s_vis/i_02_s_vis.html
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Images_par_seconde

Fiche hebdomadaire Antoine

Nom : MOLINIER
Prénom : Antoine
Date : 29/01/10

TRAVAIL REALISE :
Personnel oui
Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :
J'ai continué la rédaction de notre TPE. je m'occupe du 2. du I/ et je l'ai bientôt fini.

Difficultées rencontrées:
Introduire les mathématiques

Solution envisagée:
Une sous-partie comportant des tableaux de statistiques.

Fiche hebdomadaire Anissa

Nom : AMER
Prénom : Anissa
Date : 29/01/10

TRAVAIL REALISE :
Personnel oui
Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :
J'ai avancé dans la rédaction de notre TPE, le 3. du I/ et j'ai débuté le 1. du II/

mercredi 27 janvier 2010

I/1. La création du cinéma

Les frères Lumière sont restés dans l’histoire comme les inventeurs du cinématographe. Bien qu’ils ne soient pas les créateurs de ce mot et qu’ils se soient inspirés d’autres travaux pour mettre au point leur invention, ils furent effectivement à l’origine des premiers films de cinéma. Les frères Lumières ne voyaient en cette invention que quelque chose sans avenir. Dès le départ le cinéma se distingue de tous les médias qui l’ont précédé.

C’est en 1894, qu’Antoine Lumière demanda à ses fils Louis et Auguste de s'intéresser aux images animées sur lesquelles plusieurs pionniers travaillaient à l’époque.
Louis et Auguste Lumière ont perfectionné la croix de Malte (système qui permet à une bobine d'avancer par intermittence) toujours utilisée de nos jours.
Lors de l'Exposition universelle de Paris, ils rencontrent Thomas Edison, Georges Méliès et Émile Reynaud, l'inventeur du praxinoscope (un engin très proche du cinématographe, mais utilisé pour le dessin animé).
En 1895, ils dévoilent leur invention, le "Cinématographe Lumière", un appareil qui était à la fois une Caméra de prise de vue et un projecteur de cinéma.
Leur machine utilise la même pellicule perforée que Thomas Edison et comporte un système d’entraînement à croix de Malte.
La Première projection privée se déroula dans la résidence des frères Lumière à La Ciotat en septembre 1895 et la Première projection publique au Salon indien du Grand Café à Paris, le 28 décembre 1895.
Cette séance historique comprenait 10 films tous réalisés par Louis et Auguste Lumière en 1895, dont La Sortie des Usines Lumière, le tout premier film de l’histoire du cinéma. L’invention d’Auguste et de Louis Lumière fut acclamée par le public non seulement à Paris, mais aussi à Londres et à New York.

Avant le cinématographe de nombreuses inventions se sont succédées ce qui a permit sa création:

En 1878, les travaux photographiques d’Eadweard Muybridge permettent une première décomposition du mouvement. En 1881, il met au point un zoopraxiscope, un projecteur lui permettant de recomposer le mouvement, courses de chevaux, vols d'oiseaux ou compétitions sportives à travers la vision rapide et successive de ses phases décomposées.
Cette découverte place Muybridge parmi les précurseurs du cinéma.

Ensuite, le Français Étienne-Jules Marey cherche à perfectionner le protocole technique de Muybridge. Il invente ainsi un fusil photographique (1882) et un appareil à plaque fixe, puis à pellicule mobile (1890), dont il parvient en 1893 à projeter les images décomposées.

À la suite des travaux d’Étienne-Jules Marey et du photographe Eadweard Muybridge, l’élaboration d’un matériel capable de saisir et de restituer le mouvement dans sa continuité apparut techniquement possible.
Le premier à mettre au point un tel appareil fut William Kennedy Laurie Dickson, qui travaillait pour la société de Thomas Edison. Ancêtre de la caméra, le Kinetographe fut breveté en 1891 ; il prenait une série de photographies instantanées sur une émulsion photographique standard Eastman Kodak que l’on collait ensuite sur une bande de Celluloïd transparent de 35 mm de large, perforée de façon régulière.

La première projection eut lieu en 1893, à l’aide d’un appareil conçu également par Dickson et appelé Kinétoscope. Cet appareil, une sorte de visionneuse individuelle, était enfermé dans un grand coffret et permettait la perception d’images continues à travers un viseur. Sous cette forme, ce ne fut guère qu’une attraction foraine, toutefois fort prisée.

Les frères Lumière en reprirent alors le principe et mirent au point un projecteur : le Cinématographe. Le succès fut immédiat. D’autres chercheurs, aux États-Unis (Laurie Dickson, associé à Eugène Lauste, Thomas Armat, dont le brevet fut acheté par Edison en 1896, etc), en France (Georges Demenÿ, inventeur du Chronophotographe pour la firme Gaumont), en Allemagne (Max Skladanowsky, Oskar Messter), en Italie (Filoteo Alberini) et en Grande-Bretagne (Robert William Paul), mettaient au point à la même époque des brevets concurrents ou complémentaires (voire des contrefaçons) des brevets Edison ou Lumière.
Très vite, le format de pellicule de 35 mm défini par Edison et la vitesse de projection de 16 images par seconde du Cinématographe Lumière devinrent des standards.
Il ne manquait qu’un système pratique de synchronisation du son : le Vitaphone en 1926, puis le Movietone en 1931 — pour que les fondements techniques du cinéma moderne fussent tous réunis.

Fiche Hebdomadaire Reda

Nom: MEHDI

Prénom: Reda

Date: 22/01/2010

TRAVAIL REALISE:

Personnel

Lieu: CDI

Tâches réalisées: Nous avons continué la rédaction de nos parties.

I/1. La création du cinéma



Les frères Lumière sont restés dans l’histoire comme les inventeurs du cinématographe. Bien qu’ils ne soient pas les créateurs de ce mot et qu’ils se soient inspirés d’autres travaux pour mettre au point leur invention, ils furent effectivement à l’origine des premiers films de cinéma. Ils ne voyaient en cette invention que quelque chose sans avenir. Dès le départ le cinéma se distingue de tous les médias qui l’ont précédé.
C’est en 1894, qu’Antoine Lumière demanda à ses fils Louis et Auguste de s'intéresser aux images animées sur lesquelles plusieurs pionniers travaillaient à l’époque.
Louis et Auguste Lumière ont perfectionné la croix de Malte (système qui permet à une bobine d'avancer par intermittence) toujours utilisée de nos jours.
Lors de l'Exposition universelle de Paris, ils rencontrent Thomas Edison et Georges Méliès. En 1895, ils dévoilent leur invention, le "Cinématographe Lumière", un appareil qui était à la fois une Caméra de prise de vue et un projecteur de cinéma.
Leur machine utilise la même pellicule perforée que Thomas Edison et comporte un système d’entraînement à croix de Malte.
La Première projection privée se déroula dans la résidence des frères Lumière à La Ciotat en septembre 1895 et la Première projection publique au Salon indien du Grand Café à Paris, le 28 décembre 1895.

Cette séance historique comprenait 10 films tous réalisés par Louis et Auguste Lumière en 1895, dont La Sortie des Usines Lumière, le tout premier film de l’histoire du cinéma. L’invention d’Auguste et de Louis Lumière fut acclamée par le public non seulement à Paris, mais aussi à Londres et à New York.

Avant le cinématographe de nombreuses inventions se sont succédées ce qui a permit sa création.

En 1878, les travaux photographiques d’Eadweard Muybridge permettent une première décomposition du mouvement. En 1881, il met au point un zoopraxiscope, un projecteur lui permettant de recomposer le mouvement, courses de chevaux, vols d'oiseaux ou compétitions sportives à travers la vision rapide et successive de ses phases décomposées.

Cette découverte place Muybridge parmi les précurseurs du cinéma.

Ensuite, le Français Étienne-Jules Marey cherche à perfectionner le protocole technique de Muybridge. Il invente ainsi un fusil photographique (1882) et un appareil à plaque fixe, puis à pellicule mobile (1890), dont il parvient en 1893 à projeter les images décomposées.

À la suite des travaux d’Étienne-Jules Marey et du photographe Eadweard Muybridge, l’élaboration d’un matériel capable de saisir et de restituer le mouvement dans sa continuité apparut techniquement possible.

Le premier à mettre au point un tel appareil fut William Kennedy Laurie Dickson, qui travaillait pour la société de Thomas Edison. Ancêtre de la caméra, le Kinetographe fut breveté en 1891 ; il prenait une série de photographies instantanées sur une émulsion photographique standard Eastman Kodak que l’on collait ensuite sur une bande de Celluloïd transparent de 35 mm de large, perforée de façon régulière.

La première projection eut lieu en 1893, à l’aide d’un appareil conçu également par Dickson et appelé Kinétoscope. Cet appareil, une sorte de visionneuse individuelle, était enfermé dans un grand coffret et permettait la perception d’images continues à travers un viseur. Sous cette forme, ce ne fut guère qu’une attraction foraine, toutefois fort prisée.

Les frères Lumière en reprirent alors le principe et mirent au point un projecteur : le Cinématographe. Le succès fut immédiat. D’autres chercheurs, aux États-Unis (Laurie Dickson, associé à Eugène Lauste, Thomas Armat, dont le brevet fut acheté par Edison en 1896, etc), en France (Georges Demenÿ, inventeur du Chronophotographe pour la firme Gaumont), en Allemagne (Max Skladanowsky, Oskar Messter), en Italie (Filoteo Alberini) et en Grande-Bretagne (Robert William Paul), mettaient au point à la même époque des brevets concurrents ou complémentaires (voire des contrefaçons) des brevets Edison ou Lumière.
Très vite, le format de pellicule de 35 mm défini par Edison et la vitesse de projection de 16 images par seconde du Cinématographe Lumière devinrent des standards.
Il ne manquait qu’un système pratique de synchronisation du son : le Vitaphone en 1926, puis le Movietone en 1931 — pour que les fondements techniques du cinéma moderne fussent tous réunis.

mardi 26 janvier 2010

Fiche hebdomadaire Anissa

Nom : AMER

Prénom : Anissa

Date : 22/01/10

TRAVAIL REALISE :

En groupe oui
Personnel oui

Lieu : C.D.I

Tâches réalisées : J'ai avancée dans la rédaction de notre TPE, notamment le 3. du I qui est "ses mutations techniques", qui se trouve ci dessous :

I.3 Ses mutations techniques.

Le cinéma est né le 28 décembre 1895, à Paris, lors de la première présentation publique du cinématographe Lumière. La programmation de cette soirée était composée de quelques courts métrages muets, tournés par les frères Lumière eux-mêmes, dont L'Arrivée d'un train en gare, Sortie d'usine, Repas de bébé. Pourtant, dès ce début, le cinéma ne fut pas muet au sens strict, il y a souvent eu un accompagnement musical. Il n'y avait pas de sons synchronisés avec les images, c'est vrai. Cependant, un bonimenteur était présent pour narrer ou expliquer les images qui défilaient. Celui ci va rapidement être remplacé par le bruiteur. La mélodie ponctuée par le pianiste accompagnait certes le film mais donnait aussi la cadence de la projection.Dès 1889, W.K.L Dickson développe un système pour synchroniser le son d'un phonographe (lecteur de disques en vinyle) d'Edison avec le kinétoscope (boîte à visionnement de films), c'est le kinétophonographe. Et c'est pourtant qu'en 1927 que le cinéma va devenir parlant avec la compagnie Warner Brothers qui utilise pour la première fois des séquences de vitaphones dans un long métrage: The Jazz Singer. A la musique et les sons s'ajoute le dialogue d'Al Jolson incluant la fameuse phrase «You ain't heard nothin' yet!» (« Vous n’avez encore rien entendu ! »)
La transition du cinéma muet au cinéma sonore est un événement bien documenté dans les annales de l'histoire du cinéma et plusieurs films permettent d'en étudier l'évolution. Singin' In The Rain (Kelly, Donen, 1952), par exemple, est une comédie musicale qui raconte justement l'histoire du passage du cinéma muet au cinéma sonore. On peut également citer Chaplin comme l'exemple parfait de l'acteur opposé au cinéma sonore.
Un autre événement capital marque encore l’histoire de l’image du cinéma, l’apparition de la couleur. C’est en 1935 que se développe le procédé Technicolor (né en 1915) qui restera dominant jusqu’au milieu des années cinquante. S’il présentait, au début surtout, d’importants inconvénients notamment les énormes caméras, les distorsions chromatiques, le faible titrage qui nécessite beaucoup d’éclairage, la lumière va largement renforcer la fonction dramatique de l’image cinématographique.
Moins connu que le technicolor qui est même devenu un nom commun, l'Eastmancolor est un procédé, lancé par Kodak, de reproduction de la couleur pourtant utilisé dans de nombreux films des années 1950. Contrairement au technicolor, ce procédé impressionne les 3 couleurs de base (Rouge, Vert, Bleu) sur une seule et même pellicule, ce qui a permis une meilleure fidélité aux couleurs, mais avait l'inconvénient de ne plus permettre un étalonnage différent pour chaque couleur de base.
Dans les années quarante et surtout cinquante s’installe un académisme marqué par l’obsession de la lisibilité : l’éclairage de l’acteur prime sur celui du décor, absence de relief, hantise de l’ombre et de l’obscurité.

dimanche 24 janvier 2010

I/ 2. le rôle de la photographie

I/ 2. Le rôle de la photographie
La photographie, inventée par Niepce en 1816, puis perfectionnée par Daguerre et Talbot, est une technique permettant de fixer l’image des objets sur une surface rendue sensible à la lumière par des procédés chimiques. C’est aussi un art.
Une photographie est faite par réaction chimique, c'est-à-dire, le papier photographique contient des cristaux d’halogénures qui sont sensibles à la lumière. Lorsque la lumière agit sur ces cristaux, elle provoque la formation d’argent métallique, dispersés à la surface du papier. Alors on développe avec un révélateur photographique composé de différents développeurs, ce qui permet d’augmenter les proportions pour les rendre visibles à l’œil nu. Ensuite on les fixe à l’aide d’un fixateur puis la photographie est rincée pour enlever le surplus de fixateur.
C’est la photographie qui va faire du cinéma un art particulier, autonome et industriel. Au commencement les photographies avaient besoin de plusieurs heures de pose et de développement et interdisaient tout mouvement.
Étienne-Jules Marey est l'un des premiers à percer les mystères de la locomotion animale et humaine. Durant les années 1878-1882, il met au point son « fusil photographique » qui permet de réaliser des prises de vue en rafale (douze épreuves en une seconde) dans le but de saisir et d'analyser le mouvement (chronophotographie).
Muybridge Eadweard (1830-1904), photographe américain d’origine britannique. Connu dans un premier temps pour ses paysages, Muybridge s'attacha ensuite à l'étude du mouvement, à commencer par celui du cheval. Les photographies sont prises sur une distance couverte par une multitude d'appareils côte à côte, déclenchés par le mouvement de l'animal lui-même ; à chaque pas, un cliché est effectué, la multiplication, puis la juxtaposition des images reconstituant le déplacement.
Le cinéma est composé de photographies, plus ou moins nombreuses par seconde pour définir un mouvement plus ou moins rapide. Au début de la cinématographie, la vitesse était de 16 images ou photographies par seconde. Ce qui signifie qu’il y avait 960 images (60x16) qui défilaient en une minute. C’est la succession rapide de ces images, différant en moyenne peu les unes des autres, qui, par illusion, fournit une image animée au spectateur, reproduisant notamment les mouvements et trajectoires de la vie réelle. La persistance rétinienne, l’effet phi et les techniques de projection permettent à l’être humain de voir cette série d’images discrètes en un continuum visuel.
De plus en une minute il y avait 12 mètres de pellicule, donc pour un court-métrage de 30 minutes il fallait 360 mètres de pellicules : ce qui est énorme. C’est pour cela que c’étaient des court-métrages. Les films de 35 millimètres étaient plus souvent utilisés que les 16 et 75 millimètres.
L’obligation de prendre un grand nombre de photos en une seconde, pour reconstituer le mouvement, impose un déplacement très rapide de la pellicule dans l’appareil; c’est cette contrainte qui rend l’appareil très complexe.

Définition
Persistance rétinienne : capacité ou défaut de l'œil à conserver une image vue superposée aux images que l'on est en train de voir.
Effet phi : sensation visuelle de mouvement provoquée par l'apparition d'images perçues successives, susceptibles d'être raccordées par un déplacement ou une transformation.
Continuum : ensemble d'éléments tels que l'on peut passer de l'un à l'autre de façon continue.

Fiche hebdomadaire Antoine

Nom: MOLINIER

Prénom: Antoine

Date: 22/01/2010



TRAVAIL REALISE :
Personnel
Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :
Nous avons continué la rédaction de la première grande partie, chacun de son côté puis nous avons lu chaques travaux en fin des deux heures
Voici le 2 de la première partie I

I/ 2. Le rôle de la photographie
La photographie, inventée par Niepce en 1816, puis perfectionnée par Daguerre et Talbot, est une technique permettant de fixer l’image des objets sur une surface rendue sensible à la lumière par des procédés chimiques. C’est aussi un art.
Une photographie est faite par réaction chimique, c'est-à-dire, le papier photographique contient des cristaux d’halogénures qui sont sensibles à la lumière. Lorsque la lumière agit sur ces cristaux, elle provoque la formation d’argent métallique, dispersés à la surface du papier. Alors on développe avec un révélateur photographique composé de différents développeurs, ce qui permet d’augmenter les proportions pour les rendre visibles à l’œil nu. Ensuite on les fixe à l’aide d’un fixateur puis la photographie est rincée pour enlever le surplus de fixateur.
C’est la photographie qui va faire du cinéma un art particulier, autonome et industriel. Au commencement les photographies avaient besoin de plusieurs heures de pose et de développement et interdisaient tout mouvement.
Étienne-Jules Marey est l'un des premiers à percer les mystères de la locomotion animale et humaine. Durant les années 1878-1882, il met au point son « fusil photographique » qui permet de réaliser des prises de vue en rafale (douze épreuves en une seconde) dans le but de saisir et d'analyser le mouvement (chronophotographie).
Muybridge Eadweard (1830-1904), photographe américain d’origine britannique. Connu dans un premier temps pour ses paysages, Muybridge s'attacha ensuite à l'étude du mouvement, à commencer par celui du cheval. Les photographies sont prises sur une distance couverte par une multitude d'appareils côte à côte, déclenchés par le mouvement de l'animal lui-même ; à chaque pas, un cliché est effectué, la multiplication, puis la juxtaposition des images reconstituant le déplacement.
Le cinéma est composé de photographies, plus ou moins nombreuses par seconde pour définir un mouvement plus ou moins rapide. Au début de la cinématographie, la vitesse était de 24 images ou photographies par seconde. Ce qui signifie qu’il y avait 960 images (60x16) qui défilaient en une minute. C’est la succession rapide de ces images, différant en moyenne peu les unes des autres, qui, par illusion, fournit une image animée au spectateur, reproduisant notamment les mouvements et trajectoires de la vie réelle. La persistance rétinienne, l’effet phi et les techniques de projection permettent à l’être humain de voir cette série d’images discrètes en un continuum visuel.
De plus en une minute il y avait 12 mètres de pellicule, donc pour un court-métrage de 30 minutes il fallait 360 mètres de pellicules : ce qui est énorme. C’est pour cela que c’étaient des court-métrages. Les films de 35 millimètres étaient plus souvent utilisés que les 16 et 75 millimètres.
L’obligation de prendre un grand nombre de photos en une seconde, pour reconstituer le mouvement, impose un déplacement très rapide de la pellicule dans l’appareil; c’est cette contrainte qui rend l’appareil très complexe.

Définition
Persistance rétinienne : capacité ou défaut de l'oeil à conserver une image vue superposée aux images que l'on est en train de voir.
Effet phi : sensation visuelle de mouvement provoquée par l'apparition d'images perçues successives, susceptibles d'être raccordées par un déplacement ou une transformation.
Continuum : ensemble d'éléments tels que l'on peut passer de l'un à l'autre de façon continue.

vendredi 22 janvier 2010

Fiche Hebdomadaire Reda

Nom: MEHDI
Prénom: Reda
Date: 15/01/2010

TRAVAIL REALISE :
Personnel
Lieu : C.D.I

Tâches réalisées : Nous avons fait une rencontre élèves-professeurs, puis j'ai commencé la rédaction de la première partie: "le début de la cinématographie".

mardi 19 janvier 2010

I/ 3. Ses mutations techniques

[...]Le cinéma est né le 28 décembre 1895, à Paris, lors de la première présentation publique du cinématographe Lumière. La programmation de cette soirée était composée de quelques courts métrages muets, tournés par les frères Lumière eux-mêmes, dont L'Arrivée d'un train en gare, Sortie d'usine, Repas de bébé. Pourtant, dès ce début, le cinéma ne fut pas muet au sens strict, il y a souvent eu un accompagnement musical. Il n'y avait pas de sons synchronisés avec les images, c'est vrai. Cependant, un bonimenteur était présent pour narrer ou expliquer les images qui défilaient. Celui ci va rapidement être remplacé par le bruiteur. La mélodie ponctuée par le pianiste accompagnait certes le film mais donnait aussi la cadence de la projection.
Dès 1889, W.K.L Dickson développe un système pour synchroniser le son d'un phonographe (lecteur de disques en vinyle) d'Edison avec le kinétoscope (boîte à visionnement de films), c'est le kinétophonographe. Et c'est pourtant qu'en 1927 que le cinéma va devenir parlant avec la compagnie Warner Brothers qui utilise pour la première fois des séquences de vitaphones dans un long métrage: The Jazz Singer. A la musique et les sons s'ajoute le dialogue d'Al Jolson incluant la fameuse phrase «You ain't heard nothin' yet!».
La transition du cinéma muet au cinéma sonore est un événement bien documenté dans les annales de l'histoire du cinéma et plusieurs films permettent d'en étudier l'évolution. Singin' In The Rain (Kelly, Donen, 1952), par exemple, est une comédie musicale qui raconte justement l'histoire du passage du cinéma muet au cinéma sonore.On peut également citer Chaplin comme l'exemple parfait de l'acteur opposé au cinéma sonore. [..]

Introduction 2

Le terme « cinéma » est l’apocope de « cinématographe » (du grec κίνημα / kínēma, « mouvement » et γράφειν / gráphein, « écrire »).
Le cinéma est un art du spectacle. Il expose au public un film, c’est-à-dire une œuvre composée d’images en mouvement projetées sur un support, généralement un écran blanc, et accompagnées la plupart du temps d’une bande sonore. Ce mot polysémique peut donc désigner l’art, sa technique ou encore, la salle dans laquelle il est projeté.
Depuis son invention, le cinéma est devenu à la fois un art populaire, un divertissement, une industrie et un média. Il peut aussi être utilisé à des fins de propagande, de pédagogie ou de recherche scientifique. En français, on le désigne couramment comme le « septième art ».
L’histoire du cinéma commence il y a bien longtemps mais on ne saurait la dater précisément. Mais on peut considérer qu’il débute avec le théâtre des ombres, ce dernier existe depuis plus de 3000 ans en Extrême-Orient.
Le cinéma, différent du théâtre des ombres, de l’imitation, de la photographie … mais appartenant à la même famille, est une combinaison de cadrage, de montage, de corps, d’espaces, d’objets, de sons, de musiques et d’un rapport à la réalité qui lui est propre par son mode d’enregistrement. Cette technique permet de conserver et de faire revivre des textes, des actions, des émotions.
Le cinéma est un art qui permet aux hommes de cultiver leur besoin de raconter, de vivre et de faire partager leurs rêves. Il implique le spectateur dans une situation immédiate et suscite une émotion qui peut être d'ordre esthétique.
Dans l'histoire de la cinématographie, quel a été le rôle de la vitesse et de la synchronisation?
Par souci de clarté, nous avons décidé de décomposer les travaux personnels encadrés en deux grandes parties : De la création du cinéma à ses mutations techniques et L'évolution de la cinématographie et le cinéma d'aujourd'hui.

dimanche 17 janvier 2010

Fiche hebdomadaire Anissa

Nom: AMER

Prénom: Anissa

Date: 15/01/2010

TRAVAIL REALISE :

En groupe oui

Personnel oui

Lieu : C.D.I

Tâches réalisées : Durant cette séance nous avons tout d'abord commencé par une rencontre professeurs-élèves durant laquelle nos professeurs ont fait le point avec nous sur ce qui n'allait pas. Après cette mise au point j'ai commencé la rédaction de la partie 3 du I (Ses mutations techniques), l'extrait est ci-dessous.


[...]Le cinéma est né le 28 décembre 1895, à Paris, lors de la première présentation publique du cinématographe Lumière. La programmation de cette soirée était composée de quelques courts métrages muets, tournés par les frères Lumière eux-mêmes, dont L'Arrivée d'un train en gare, Sortie d'usine, Repas de bébé. Pourtant, dès ce début, le cinéma ne fut pas muet au sens strict, il y a souvent eu un accompagnement musical. Il n'y avait pas de sons synchronisés avec les images, c'est vrai. Cependant, un bonimenteur était présent pour narrer ou expliquer les images qui défilaient. Celui ci va rapidement être remplacé par le bruiteur. La mélodie ponctuée par le pianiste accompagnait certes le film mais donnait aussi la cadence de la projection.
Dès 1889, W.K.L Dickson développe un système pour synchroniser le son d'un phonographe (lecteur de disques en vinyle) d'Edison avec le kinétoscope (boîte à visionnement de films), c'est le kinétophonographe. Et c'est pourtant qu'en 1927 que le cinéma va devenir parlant avec la compagnie Warner Brothers qui utilise pour la première fois des séquences de vitaphones dans un long métrage: The Jazz Singer. A la musique et les sons s'ajoute le dialogue d'Al Jolson incluant la fameuse phrase «You ain't heard nothin' yet!».
La transition du cinéma muet au cinéma sonore est un événement bien documenté dans les annales de l'histoire du cinéma et plusieurs films permettent d'en étudier l'évolution. Singin' In The Rain (Kelly, Donen, 1952), par exemple, est une comédie musicale qui raconte justement l'histoire du passage du cinéma muet au cinéma sonore.On peut également citer Chaplin comme l'exemple parfait de l'acteur opposé au cinéma sonore. [..]

vendredi 15 janvier 2010

Fiche hebdomadaire Antoine

Nom: MOLINIER
Prénom: Antoine
Date: 15/01/2010


TRAVAIL REALISE :

En groupe oui
Personnel oui
Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :
Nous avons fait une rencontre élèves-professeurs où les professeurs nous ont dit ce qui n'allait pas et ce qui était bien.

Ensuite j'ai commencé à rédiger sur brouillon l'introduction:

Le terme « cinéma » est l’apocope de « cinématographe » (du grec κίνημα / kínēma, « mouvement » et γράφειν / gráphein, « écrire »).
Le cinéma est un art du spectacle. Il expose au public un film, c’est-à-dire une œuvre composée d’images en mouvement projetées sur un support, généralement un écran blanc, et accompagnées la plupart du temps d’une bande sonore. Ce mot polysémique peut donc désigner l’art, sa technique ou encore, la salle dans laquelle il est projeté.
Depuis son invention, le cinéma est devenu à la fois un art populaire, un divertissement, une industrie et un média. Il peut aussi être utilisé à des fins de propagande, de pédagogie ou de recherche scientifique. En français, on le désigne couramment comme le « septième art ».
L’histoire du cinéma commence il y a bien longtemps mais on ne saurait la dater précisément. Mais on peut considérer qu’il débute avec le théâtre des ombres, ce dernier existe depuis plus de 3000 ans en Extrême-Orient.
Le cinéma, différent du théâtre des ombres, de l’imitation, de la photographie … mais appartenant à la même famille, est une combinaison de cadrage, de montage, de corps, d’espaces, d’objets, de sons, de musiques et d’un rapport à la réalité qui lui est propre par son mode d’enregistrement. Cette technique permet de conserver et de faire revivre des textes, des actions, des émotions.
Le cinéma est un art qui permet aux hommes de cultiver leur besoin de raconter, de vivre et de faire partager leurs rêves. Il implique le spectateur dans une situation immédiate et suscite une émotion qui peut être d'ordre esthétique.
Dans l'histoire de la cinématographie, quel a été le rôle de la vitesse et de la synchronisation?
Par souci de clarté, nous avons décidé de décomposer les travaux personnels encadrés en deux grandes parties : De la création du cinéma à ses mutations techniques et L'évolution de la cinématographie et le cinéma d'aujourd'hui.

Difficultées rencontrées:
Nous n'avons toujours pas réussi à rendre mieux visible le texte à cause de l'image.

vendredi 8 janvier 2010

Fiche hebdomadaire Anissa

Nom : AMER
Prénom : Anissa
Date : 08/01/10

TRAVAIL REALISE :

En groupe oui
Personnel oui

Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :

Réalisation de la fiche étape n°3.

Fiche hebdomadaire Antoine

Nom : MOLINIER
Prénom : Antoine
Date : 08/01/10

TRAVAIL REALISE :

En groupe oui
Personnel oui

Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :

Réalisation de la fiche étape n°3

Fiche hebdomadaire Reda

Nom : MEHDI
Prénom : Reda
Date : 08/01/10

TRAVAIL REALISE :

En groupe non
Personnel oui

Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :

Recherche d'informations supplémentaire et publication de la bibliographie.

Fiche étape n°3

Groupe: AMER Anissa, MEHDI Reda et MOLINIER Antoine

Thème: Les avancées scientifiques et réalisations techniques

Sujet: La cinématographie

Problématique: Dans l'histoire de la cinématographie, quel a été le rôle de la vitesse et de la synchronisation?


Plan:

I/ De la création du cinéma à ses mutations techniques
1. Le début de la cinématographie
- dates importantes, personnages qui ont aidé à sa création, début du cinéma,...
.http://analysefilmique.free.fr/prehisto/kineto.php
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
.J.CRAUGHWELL Thomas, Le cinématographe (Extrait de l’ouvrage : 30 000 ans d’inventions) Publié le 13 novembre 2009.
.DELMAS Laurent et LAMY Jean-Claude, Cinéma : la grande histoire du 7ème Art. Publié le 17 février 2009

2. Le rôle de la photographie
- synchronisation des images à l'époque, les photographies et la cinématographie,...
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
.http://dmentrard.free.fr/GEOGEBRA/Maths/outils/Praxinoscope_NOIR.html
.http://dmentrard.free.fr/GEOGEBRA/Maths/outils/Prexo.html
.http://dmentrard.free.fr/GEOGEBRA/Maths/outils/Praxinoscope.html

3. Ses mutations techniques
- du muet au sonore, du noir & blanc à la couleur, vitesse des images,...
.AUZEL Dominique, Le cinéma. Publié en 25 avril 2005
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
.DELMAS Laurent et LAMY Jean-Claude, Cinéma : la grande histoire du 7ème Art. Publié le 17 février 2009

II/ L'évolution de la cinématographie et le cinéma d'aujourd'hui.

1. Le cinéma se transforme en industrie
- d'un loisir à une industrie (ex: Hollywood), la cinématographie devient un commerce, coûts du cinéma, ...
.MENTRE, Paul. Où en est le cinéma français ? Article extrait du périodique Problèmes économiques n° 2885 publié le 26 octobre 2005.
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma
.DELMAS Laurent et LAMY Jean-Claude, Cinéma : la grande histoire du 7ème Art. Publié le 17 février 2009

2. L'évolution moderne du cinéma.
- nouvelle synchronisation, amélioration de la vitesse des images, nouvelles publicités pour promouvoir les nouveautés, ...
.AUZEL Dominique, Le cinéma. Publié en 25 avril 2005
.http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma

3. Le cinéma d'aujourd'hui.
- machines de haute technologie, cinéma en 3D, un cinéma nouveau, ...
.DELMAS Laurent et LAMY Jean-Claude, Cinéma : la grande histoire du 7ème Art. Publié le 17 février 2009

samedi 2 janvier 2010

Fiche hebdomadaire Reda

Nom : MEHDI
Prénom : Reda
Date : 18/12/09

TRAVAIL REALISE :
En groupe oui
Personnel oui
Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :
Nous avons un plan:
I/De la création du cinéma à ses changements majeurs
1. Les débuts de la cinématographie
=> sa création, les oeuvres d'autres créateurs qui ont participé ...
2. Le rôle de la photographie
=> synchronisation des images de l'époque, vitesse ...
3. Les changements majeurs
=>cinéma muet devenu sonore, noir et blanc qui passe en couleurs, vitesse ...

II/L'évolution de la cinématographie et le cinéma d'aujourd'hui
1. Le cinéma se transforme en industrie
=> D'un loisir à une industrie (Hollywood), coûts, commerce ...
2. L'évolution moderne du cinéma
=> Nouvelles synchronisations et vitesses ...
3. Le cinéma d'aujourd'hui
=> Hautes technologies, design, cinéma en 3D ...

Nous avons mis sur notre blog notre bibliographie d'excel

Difficultés rencontrées (non résolues) : Aucune

Fiche hebdomadaire Anissa

Nom : AMER
Prénom : Anissa
Date : 18/12/09

TRAVAIL REALISE :
En groupe oui
Personnel oui
Lieu : C.D.I

Tâches réalisées :
Nous avons un plan:
I/De la création du cinéma à ses changements majeurs
1. Les débuts de la cinématographie
=> sa création, les oeuvres d'autres créateurs qui ont participé ...
2. Le rôle de la photographie
=> synchronisation des images de l'époque, vitesse ...
3. Les changements majeurs
=>cinéma muet devenu sonore, noir et blanc qui passe en couleurs, vitesse ...

II/L'évolution de la cinématographie et le cinéma d'aujourd'hui
1. Le cinéma se transforme en industrie
=> D'un loisir à une industrie (Hollywood), coûts, commerce ...
2. L'évolution moderne du cinéma
=> Nouvelles synchronisations et vitesses ...
3. Le cinéma d'aujourd'hui
=> Hautes technologies, design, cinéma en 3D ...
Nous avons mis sur notre blog notre bibliographie d'excel

Difficultés rencontrées (non résolues) : Aucune